communauteSans
Communauté
boutiqueSans
Boutique
Image décorative. En cliquant dessus, on découvre les différents abonnements proposés par Rebelle-Santé
S’ABONNER

La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Des mentions à bien comprendre

Elles ne sont pas obligatoires, ne dépendent pas de la réglementation, mais de la seule initiative des fabricants qui décident, ou non, de les apposer sur leurs produits. Comment comprendre ces mentions présentes sur les étiquettes de nos cosmétiques quotidiens ? Petite leçon de décodage…

HYDRATATION DES COUCHES SUPERFICIELLES DE L’ÉPIDERME
Elle n’a jamais été obligatoire (et elle l’est même de moins en moins), mais on ne l’en voit pas moins régulièrement, généralement au bout d’un astérisque, dès que la notion d’hydratation est évoquée sur une étiquette de cosmétique. (…)

HYPOALLERGÉNIQUE
Pas de trace de cette mention dans la réglementation cosmétique. La notion d’hypoallergénicité, de plus en plus recherchée pourtant par les consommateurs, fait ainsi l’objet d’interprétations diverses dans la profession. (…)

NON COMÉDOGÈNE
Un cosmétique (ou un ingrédient cosmétique) comédogène est, par définition, susceptible de favoriser l’apparition de comédons (ou points noirs), en général du fait de son caractère occlusif (qui forme  comme un film étanche sur la peau, empêchant la bonne évacuation du sébum). (…)

SANS NANOPARTICULES
Elle est assez en vogue, et on la croise de plus en plus, notamment sur les étiquettes des produits solaires. L’engouement pour cette mention ne devrait pas décroître, puisqu’à partir de 2013, le nouveau Règlement européen régissant les cosmétiques impose la désignation explicite des nanomatériaux, en les assortissant du terme « nano » dans la déclaration officielle des ingrédients sur l’étiquette. (…)

SOUS CONTRÔLE DERMATOLOGIQUE
D’une façon globale, la mention souligne une caution autorisée, sérieuse, scientifique. Le fabricant met ainsi en avant un processus de fabrication et une composition validés par une autorité incontestable (un membre du corps médical) dans le but d’assurer le consommateur de l’intérêt et/ou de la sécurité de son produit. (…)

NON TESTÉ SUR ANIMAUX
Celle-là, on ne doute pas qu’elle soit justifiée. Parce qu’elle correspond à une obligation (l’interdiction des tests sur animaux en cosmétique) applicable depuis le 11 septembre 2004 et valable pour tous les produits finis, bio ou non. (…)

Pour lire la suite

Déjà abonné·e, connectez-vous !

Magazine

À lire aussi

Les nano-particules dans nos crèmes

On en parle régulièrement quand on évoque les écrans minéraux qui assurent la protection anti-UV des crèmes solaires. On sait qu’on peut les retrouver aussi dans nombre d’autres cosmétiques, des déodorants aux crèmes antirides, en passant par les fards à paupières, les soins pour cheveux ou les parfums… Les nanomatériaux, bien présents dans nos produits, se font en revanche étrangement discrets sur les étiquettes. Mais cette situation ne va pas tarder à changer.