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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Aux petits soins d’un animal convalescent!

Maladie, blessure, accident, stérilisation, opération… La vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Pour aider votre petit compagnon à se remettre plus vite sur pattes, jouez la carte de la douceur et des médecines naturelles !

QUAND ON EST SOUFFRANT, UN RIEN NOUS IRRITE
Votre animal n’échappe pas à la règle et c’est pourquoi vous devez commencer par lui offrir le maximum de confort. Oublié le panier ou la niche trop étroite ! Le temps qu’il se remette, offrez-lui un matelas épais où il puisse s’étendre de tout son long. C’est important car, à la suite de certaines opérations ou de maladies rhumatismales, sa position habituelle (couché en rond) peut être douloureuse. De plus, s’il porte une collerette pour ne pas arracher ses fils, il a besoin d’espace.

IL VIENT D’ÊTRE OPÉRÉ !
Le coup de pouce des médecines douces  : pour faciliter le réveil d’un chat opéré et éviter qu’il n’en garde un trop fâcheux souvenir, les vétérinaires homéopathes conseillent Nux vomica 15 CH et Opium 15 CH, 5 granules de chaque, le soir de l’anesthésie et les 2 soirs qui suivent.
Et, dans les suites opératoires, pour un chat, comme pour un chien, Arnica montana 9 CH (5 granules par jour), accélère la cicatrisation des tissus et ne présente pas de risque d’interférence avec les anti-inflammatoires et les antibiotiques prescrits par le vétérinaire.

IL SORT D’UNE MALADIE !
Le coup de pouce des médecines douces  : un animal malade se sent vulnérable et peut donc se montrer, de fait, davantage irritable. C’est pourquoi vous devez tout faire pour l’apaiser. Idem si vous devez lui faire des soins désagréables (comme des injections sous-cutanées).
Chez un chat, le plus simple pour vaincre le stress est la diffusion de phéromones apaisantes. Vous pouvez aussi donner une protéine apaisante (celle qui endort les petits après la tétée) sous forme de complément alimentaire (Zylkène®). Cette protéine existe également en version pour les chiens.
Chez  les chiens, il y a l’alternative des huiles essentielles, non pas directement sur la fourrure, mais diffusées à l’aide d’un diffuseur électrique. Mettez juste deux gouttes, pas plus, car ils sont plus sensibles aux odeurs que nous et le but n’est pas de les incommoder. Par exemple, l’huile essentielle de lavande a des vertus apaisantes et assainissantes.

PRUDENCE APRÈS UNE BLESSURE  !
Pour limiter les risques infectieux, un pansement doit être propre. C’est pourquoi, si vous devez sortir votre ami et qu’il pleut, il faut un plastique tout autour de la blessure (sur une patte ou la queue) ou le protéger avec un manteau imperméable. Une fois rentré, vous devez bien sûr retirer le plastique (sous peine de macération) ou le manteau. Ne laissez pas votre animal avec un pansement sale ou mouillé, mais faites- en un nouveau ou consultez si c’est trop compliqué. Enfin, voyez d’urgence le vétérinaire si la plaie vous semble suintante ou purulente  : ce peut être l’annonce d’une infection. Et pensez à l’Arnica (en granules) car, s’il y a eu une blessure, il y a forcément eu traumatisme…

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