communauteSans
Communauté
boutiqueSans
Boutique
Image décorative. En cliquant dessus, on découvre les différents abonnements proposés par Rebelle-Santé
S’ABONNER

La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Le syndrome de fatigue chronique (SFC)

La fatigue est un symptôme qui concerne près de la moitié des Français. Parmi les origines possibles de la fatigue, il en est une connue sous le nom de "syndrome de fatigue chronique" et qui fait de plus en plus de dégâts parmi la population jeune, active et surmenée.

Le syndrome de fatigue chronique, ou SFC, se manifeste par une fatigue permanente qui s’accompagne d’un épuisement physique au moindre effort, différent donc de la fatigue “habituelle” où il n’y a pas d’épuisement ni de fatigabilité extrême à l’effort. D’une façon générale, le stress du travail à haute dose, générant frustrations ou insatisfactions, semble être à l’origine du SFC.

GROSSE FATIGUE
Pour parler de SFC, il faut que la fatigue persiste au moins depuis 6 mois et ne s’accompagne d’aucune origine psychiatrique évidente ni de pathologie où la fatigue existe.

ÉLIMINER LES AUTRES PATHOLOGIES
Avant de parler de SFC, encore faut il être sûr que la fatigue n’est pas la conséquence d’une maladie bien identifiable.

LE TRAVAIL, OUI, MAIS SANS EXCÈS
A l’heure actuelle, il n’y a pas de traitement médicamenteux qui soit efficace. Les antidépresseurs et les médicaments antiviraux sont décevants. Le SFC, qui finit toujours par régresser, peut durer des années ! Très logiquement, la suspension des facteurs déclenchants — le stress et le travail acharné — peut améliorer les choses.

S’EN SORTIR PAR LES PLANTES ?
Aux USA, les yuppies fatigués se tournent vers les substances naturelles pour renforcer leur système immunitaire, combler des déficits en nutriments ou bien encore retrouver goût à la vie.
En voici quelques-unes :
> Vitamines C et du groupe B ;
> Oligo-éléments : magnésium, manganèse, potassium ;
> Produits de la ruche : gelée royale, propolis et pollen ;
> Acides aminés : Gaba, histidine, lysine, phosphatidylsérine, taurine, tyrosine ;
> Huile de foie de requin ;
> Plantes : ginseng, rhodiola, éleuthérocoque, lapacho, cat’s claw (uña de gato)…

Parmi ces solutions, ce sont sans doute les plantes qui rencontrent le plus de succès, surtout le cat’s claw. Il ne s’agit pas de prendre toutes ces substances à la fois ou n’importe comment. Sans qu’il y ait d’effets secondaires graves à craindre, il peut cependant y avoir deux types d’intolérance : celle de votre estomac et celle de votre porte-monnaie. Si vous suivez un traitement médical, posez la question à votre médecin afin d’éviter tout risque d’interaction médicamenteuse. Une alimentation saine et équilibrée, riche en végétaux et un minimum d’exercice physique (au moins 20 minutes, trois fois par semaine) sont fortement conseillés.

Pour lire la suite

Déjà abonné·e, connectez-vous !

À lire aussi

Inscrivez-vous à
Pour ne rien rater
Notre lettre info
1 à 2 envois par mois