Pollen et conjonctivite rebelle
Je voudrais vous faire part de mon expérience concernant une conjonctivite chronique. Il y a environ 4 ans, j’ai eu une conjonctivite avec l’œil complètement injecté de sang. J’ai commencé par essayer tous les petits remèdes : compresses de bleuet, de sureau, de camomille, de plantain, du collyre, les gouttes bleues et sans compter également les compléments alimentaires à base d’extrait de myrtille, de lutéine ou de zéaxanthine. Résultat de tout cela : effet quasi nul ; l’œil restait injecté de sang en permanence sur toute sa surface. J’ai fini par consulter une ophtalmo qui me donna des gouttes, deux flacons, l’un contenant plusieurs antibiotiques et l’autre un antibiotique et de la cortisone. À la fin du traitement de 10 jours, l’œil était redevenu complètement blanc, mais cela ne dura pas. Une semaine plus tard environ, il était injecté de sang comme auparavant. Alors que faire ? J’ai pris sur moi la décision de recommencer le traitement en l’arrêtant dès que l’œil serait redevenu blanc. Une journée a suffi… mais quelques jours plus tard, il était à nouveau rouge. J’ai continué comme cela pendant plusieurs mois. L’œil redevenait blanc en une seule journée seulement avec les gouttes contenant de la cortisone, même périmées, et redevenait rouge environ une semaine plus tard. Alors que faire ? (…) Un jour, il s’est passé quelque chose de tout à fait inattendu. J’ai pris une demi-cuillerée à café de pollen comme anti-fatigue. Jamais, je n’avais eu connaissance d’une quelconque action du pollen sur l’œil. Il m’a semblé le 1er jour que le pollen m’avait fait du bien. Le lendemain, j’en ai repris… Dès le 3ème jour, il était évident que le pollen me faisait du bien ; mon œil était moins congestionné. 4 à 5 jours plus tard, il était complètement blanc, sans photophobie, sans douleur. Et j’ai continué de prendre une demi-cuillerée à café de pollen par jour. Cela fait 4 ans que je continue. L’œil est toujours blanc. Pour les lecteurs intéressés, je précise que j’ai pris dans un 1er temps pendant environ un mois, du pollen surgelé à dominante saule (Percie du Sert) puis j’ai pris du pollen desséché en variant les marques ainsi que du pollen acheté à un apiculteur au marché. »
Alain B. des Pyrénées-Orientales
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