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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Philippe, bio-électricien

À l’heure où antennes-relais, téléphones portables, wifi et autres pollutions électromagnétiques empoisonnent notre vie, un électricien auvergnat a trouvé le bon filon : il neutralise au maximum les nuisances qui nous entourent.

RENCONTRE AVEC PHILIPPE GARIN
Curieusement, l’histoire de Philippe Garin commence… dans les centrales nucléaires ! « Après l’École d’ingénieur de l’Insa à Lyon, il me fallait excercer mon métier rapidement et ces six années passées dans les centrales m’ont été utiles par la suite », explique-t-il. Puis, ce sont les barrages hydrauliques en Savoie qui complètent son précieux savoir.

12 ANS AUX ANTILLES
Jusqu’à ce que sonne l’heure de la remise en question, et son départ vers les Antilles. « J’étais marin sur des yachts et m’occupais principalement de panneaux solaires et d’éoliennes… » Ce n’est qu’en 2008 que Philippe rejoint la métropole, retrouve famille et amis en Auvergne, et s’installe à son compte. Reiki et géobiologie viennent enrichir ses compétences. En travaillant sur son ressenti, l’électricien s’aperçoit vite que les champs électromagnétiques affectent son équilibre physiologique : « Si je passais trop de temps au téléphone portable, je souffrais de confusion mentale, j’avais les bras engourdis ou les jambes qui enflaient », se rappelle-t-il.  Heureusement, la bio-électricité était dans l’air du temps, il en entend parler et n’hésite pas une seconde : il part en Suisse se former !

« BIO-ÉLECTRICITÉ » ?
Alors, la bio-électricité, en quoi cela consiste-t-il ? Tout démarre, bien sûr, par un bilan géobiologique : le terrain est-il traversé par de l’eau ? Envahi de ruptures telles que failles, cavités, cheminées cosmo-telluriques ou autres trublions ? Vient ensuite un travail conjoint avec l’architecte ou le maître d’œuvre.
Pour les maisons neuves, il faut réfléchir au trajet des fils électriques dans l’habitat afin d’éviter les lieux comme le lit et le bureau où l’on séjourne de longues heures. « Je passe alors les gaines le long des cloisons et non pas en plein milieu de la pièce… » Dans la cuisine, le mieux est d’éviter d’installer des appareils très électro-polluants tels que plaques à induction, vitrocéramiques, etc. Le micro-ondes est banni, évidemment ! Le téléphone, quant à lui, retrouve ses fils : « Je récupère des vieux appareils filaires, car les sans-fils sont source de pollution électromagnétique », précise Philippe. Le tableau électrique sera installé sur un mur non mitoyen d’un lit ou du bureau. On peut aussi prévoir un biorupteur qui coupe l’alimentation électrique dès qu’il n’y a plus de consomation. À défaut, il est recommandé de couper le compteur la nuit…

CONTACT :
Philippe Garin : 06 15 67 61 74 – contact@electro-bio.com

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