De la rhubarbe contre le cancer
C’est avec le pigment qui donne à la rhubarbe sa couleur rouge que des chercheurs américains et chinois ont réussi à inhiber une protéine impliquée dans la croissance des tumeurs cancéreuses, la 6PGD de son petit nom. Parmi 2000 substances testées par les scientifiques, cette molécule, appelée « physcion » ou « pariétine », a la particularité de stopper l’activité des 6PGD sans endommager les autres protéines. Pour le moment, il ne s’agit que d’essais en laboratoires, mais ils nous invitent à manger de la rhubarbe (attention toutefois à ne pas la noyer dans le sucre et si vous avez tendance aux coliques néphrétiques).
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