Vitamine B17 et cancer
Remède miracle ou arnaque ?
Derrière la vitamine B17 se cache l’amygdaline, une substance isolée en 1837 qui, une fois décomposée dans l’organisme, libère un poison : le cyanure. C’est un médecin russe qui, le premier, eut l’idée d’employer l’amygdaline pour traiter le cancer et ce, dès 1845 ! Il ne s’agit donc pas d’une découverte récente.
De l’amygdaline au laetrile
À la base, l’amygdaline est une substance naturelle présente dans les noyaux de nombreux fruits, en particulier dans les noyaux d’abricots amers. Mais depuis les années 1950 existe aussi le laetrile, forme semi-synthétique d’amygdaline que l’on peut administrer tant par voie intraveineuse que par voie orale.
Une toxicité sélective
Les cellules cancéreuses se montrent plus vulnérables au cyanure que les cellules saines (à cause d’une histoire d’enzymes). L’amygdaline et le laetrile présentent donc l’avantage de cibler en priorité les cellules cancéreuses, contrairement aux chimiothérapies classiques qui ne font pas de différence entre cellules cancéreuses et cellules saines.
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