communauteSans
Communauté
boutiqueSans
Boutique
Image décorative. En cliquant dessus, on découvre les différents abonnements proposés par Rebelle-Santé
S’ABONNER

La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Le Figuier de Barbarie

Pour faire baisser la glycémie

Traditionnellement utilisé pour mieux digérer, son fruit améliore aussi les analyses de sang.

La figue de Barbarie, également appelée nopal, est un fruit très apprécié au Mexique où il est préparé en confiture ou pour faire une boisson alcoolisée. Les experts estiment que sa culture a débuté il y a environ 5000 ans. En phytothérapie, c’est pour ses effets sur le taux de sucre sanguin que la pulpe du fruit est utilisée.

POUR BIEN DIGÉRER
Ce fruit est bien connu pour calmer les douleurs gastro-intestinales et prévenir les ulcères gastro-duodénaux. La richesse de la plante en fibres douces est sans doute à l’origine de ces vertus.
Il est réputé pour ses effets préventifs sur la « gueule de bois » ; sans doute aide-t-il à un passage plus progressif de l’alcool dans l’organisme et à mieux le digérer.

ET POUR LES MAUVAISES GRAISSES
Les recherches les plus récentes ont porté sur l’effet du nopal sur les taux de cholestérol et de triglycérides, avec des résultats globalement intéressants : moins de « mauvais » cholestérol et de triglycérides, davantage de bon cholestérol.

Pour ses effets thérapeutiques, on utilise souvent le nopal sous forme de gélules. Les indications de dosage et conseils d’utilisation sont alors indiqués sur les produits.

Pour lire la suite

Déjà abonné·e, connectez-vous !

Magazine

À lire aussi

Oui, les herbicides sans glyphosate sont aussi des poisons !

Les débats sur l’interdiction du glyphosate seraient-ils un leurre ? La molécule n’est sans doute pas la plus toxique parmi les produits qui composent le Roundup de Monsanto, mais c’est le seul déclaré. C’était déjà une des conclusions des recherches du Pr Gilles-Éric Séralini et de son équipe en 2005. À la suite d’une de ses nouvelles études sur les produits cachés dans les herbicides nouvelle génération commercialisés sans glyphosate, neuf associations de défense de l’environnement ont porté plainte le 1er décembre dernier auprès des autorités sanitaires.

Pour nous prémunir du risque de nouvelles pandémies…

« Voir un lien entre la pollution de l’air, la biodiversité et la Covid-19 relève du surréalisme, pas de la science », déclarait Luc Ferry dans L’Express du 30 mars 2020, contredisant ce qu’affirme pourtant la soixantaine de scientifiques du monde entier que Marie-Monique Robin a pu interroger pendant le premier confinement. Son livre La Fabrique des pandémies réunit ces entretiens dans une enquête passionnante qui explique comment la déforestation, l’extension des monocultures, l’élevage industriel et la globalisation favorisent l’émergence et la propagation de nouvelles maladies. Non seulement la pandémie de Sars-CoV-2 était prévisible, mais elle en annonce d’autres.

Inscrivez-vous à
Pour ne rien rater
Notre lettre info
1 à 2 envois par mois