Maladie de Raynaud
On pourrait croire qu’en tournant le dos à l’hiver, les porteurs de la maladie de Raynaud sont tranquilles jusqu’aux prochains frimas. Las ! Les autres saisons sont jalonnées de pièges, et les solutions proposées en médecine classique plutôt décevantes… Le point sur ce trouble qui donne froid… dans les doigts.
Lorsque le Dr Maurice Raynaud décrivit le premier les symptômes de cette maladie, en 1862, il ne se doutait pas qu’il deviendrait célèbre à ce point. Aujourd’hui, 5 % des Français (et surtout des Françaises) touchent du doigt le problème de la maladie de Raynaud.
Cette affection des artères atteint les extrémités du corps en les privant brutalement de sang, suite à l’exposition au froid et, parfois, à un stress.
Résultat : un “magnifique” arc-en-ciel avec modifications de la couleur des zones atteintes ; du rosé (naturel), elles passent au blanc voire au bleu (privé de sang) puis au rouge (reprise de la circulation). Voilà pour l’aspect visible, parce que pour le ressenti, c’est moins artistique. Fourmillements, pulsations, engourdissements voire perte de sensibilité, la “crise” peut masquer une blessure dont on ne sent pas la morsure. Ce qui peut poser des problèmes de désinfections à la longue, on s’en doute.
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