Parkinson et médecine parallèle ? La réponse de Robert Masson
Il y a quelques mois, je vous écrivais pour vous demander si, parmi vos lecteurs, certains connaissaient ou utilisaient des médecines parallèles pour soigner la maladie de Parkinson car je ne supporte pas l’allopathie. Vous m’avez envoyé la documentation que vous possédiez : papaye fermentée (voir Belle-Santé N° 64), association et je vous en remercie, mais il y a peut-être des lecteurs qui utilisent autre chose avec succès.»
Mme S. des Yvelines
La réponse de Robert Masson
1. Il est fondamental dans cette maladie de «super nourrir» le système nerveux, aussi ajouterez-vous à votre alimentation :
– VECTOMEGA (Le Stum – tél. 02 97 88 15 88) un comprimé au milieu des 3 repas.
– LEVURE SÈCHE (non vivante) micro-éclatée : 1 c. à café sur les aliments midi et soir.
– DOLIMAG 1 gélule au milieu des 3 repas.
2. Il faudra éliminer l’alcool et réduire s’il le faut le vin.
3. Le café, s’il est utilisé, le sera modérément et toujours en fin de repas, jamais entre les repas (passage brutal de la caféine dans le sang).
4. L’alimentation sera impérativement mesurée, bio, équilibrée et sans grignotage, voir Diététique de l’expérience.
5. Vous prendrez au réveil et avant le repas du soir : 20 gouttes AULNE Bourgeon + 20 gouttes GINKGO Bourgeon + 20 gouttes TILLEUL Bourgeon + 20 gouttes FIGUIER Bourgeon ensemble dans un verre d’eau bu à petites gorgées.
6. Milieu des 3 repas, on ajoutera : 3 gélules de CO-ENZYME Q10 60 mg (Équilor) + 1 gélule de CURCUMA 300 mg (Solaray).
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