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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Rougeole et vaccin ROR

un double discours à la loupe

Depuis janvier, les médias lancent l’alerte à propos d’une épidémie de rougeole qui sévit en Europe. Avec plus de 500 cas enregistrés, les autorités sanitaires appellent à un renforcement de la vaccination. Faut-il avoir peur de cette maladie ? ou du vaccin ? Focus sur un double discours.

Par Senta Depuydt

La rougeole est une maladie infantile d’origine virale. Elle est caractérisée par l’apparition de symptômes grippaux et de plaques rouges avec des petites éruptions. Lorsqu’une personne est contaminée, il faut 10 jours avant que la maladie ne se déclare, mais le sujet peut déjà transmettre le virus 5 jours avant l’apparition des premiers symptômes. La maladie est donc fortement contagieuse.
La rougeole s’accompagne souvent d’une fièvre élevée, et si elle est presque toujours bénigne, elle peut tout de même entraîner des complications comme l’otite ou la diarrhée ou même une pneumonie et dans quelques cas, une encéphalite, c’est à-dire une inflammation cérébrale. Les décès sont rarissimes. Le dernier cas rapporté par l’Institut de Veille Sanitaire remonte à 2011.
Les personnes ayant eu la rougeole sont immunisées à vie et les nourrissons sont en principe également protégés durant leur première année, grâce aux anticorps maternels reçus in utero à travers le placenta. L’allaitement offre une protection supplémentaire par le “microbiote” du lait maternel. Le vaccin n’offre qu’une protection relative et limitée dans le temps.
Au-delà de ce rappel des faits, les discours divergent…

PEUT-ON SOIGNER LA ROUGEOLE ?
Officiellement, on insiste souvent sur le fait qu’il s’agit d’un virus et qu’il n’y a donc qu’une chose à faire : vacciner.
On parle peu du fait que la vitamine A, donnée en deux fortes doses, permet de réduire de 50 % la mortalité infantile des cas de rougeole chez le jeune enfant. Ce traitement semble particulièrement efficace pour soigner les complications ophtalmiques qui peuvent également survenir, par exemple, si l’enfant présente des signes de conjonctivite ou d’hypersensibilité à la lumière. Il doit toutefois être envisagé avec prudence, car la vitamine A est liposoluble et s’accumule dans les tissus, contrairement à la vitamine C, dont les excédents s’éliminent dans les urines. On trouvera un apport à dose plus modérée dans l’huile de foie de morue, remède efficace de nos grands-mères, qui fournit des vitamines A, D et des acides gras renforçant ainsi le système immunitaire de manière naturelle. (1)
Dans nos pays, l’administration d’immunoglobulines en intraveineuse est également utilisée à titre thérapeutique ou préventif, notamment quand une personne à risque est en contact avec la rougeole.

RÉGRESSIONS POST-VACCINALES
Il est intéressant de noter ces observations, rapportées par les parents dont les enfants souffrent de troubles du développement ou du spectre autistique. (2) Dans la majeure partie des cas, les effets secondaires suite à l’administration du vaccin sont les mêmes que les complications associées à la rougeole, mais ont tendance à se développer en mode chronique : éruptions, otites à répétition, diarrhée chronique, problèmes respiratoires, ophtalmiques, voire inflammation cérébrale, car des études semblent confirmer que les patients autistes souffrent en réalité d’une sorte d’encéphalite chronique. (3)
L’apparition d’hypersensibilité à la lumière et de troubles visuels, et même de stéréotypies particulières comme le fait de regarder sans cesse des objets qui tournent, est souvent associée à ce vaccin particulier et, selon les parents, dans certains cas, l’administration de vitamine A aurait permis d’en atténuer ou éliminer les effets.

AUTISME ET VACCIN ROR
«J’ai honte, nous avons menti» confesse l’expert du CDC
Vaxxed, de la dissimulation à la catastrophe est un documentaire que tout le monde devrait voir, selon Robert de Niro. L’acteur est aussi le père d’un enfant autiste, ayant subi un dommage vaccinal et c’est pourquoi il milite pour que la lumière soit faite sur le lien entre autisme et vaccination.
Ultra censuré, le film ébranle la crédibilité de la «plus haute autorité scientifique de la planète», le CDC, Centres for Disease Control, l’institution dont s’inspirent l’OMS et nos politiques nationales dans leurs recommandations. Il révèle les aveux de William Thompson, l’expert de la principale étude censée réfuter le lien statistique entre l’incidence de l’autisme et le vaccin ROR : «J’ai honte, ceci est le point le plus bas de ma carrière», confesse le scientifique. En effet, les premières données avaient établi une forte augmentation du risque lié à l’âge de l’administration du vaccin, particulièrement chez les jeunes garçons de type afro-américain.

Depuis sa sortie, le film fait l’objet d’une censure ininterrompue et de campagnes de dénigrement systématiques, révélatrices du lien étroit entre les médias, les politiques et l’industrie pharmaceutique. De l’autre côté, de très nombreuses victimes de dommages vaccinaux non reconnus sont venues témoigner lors des projections du documentaire, afin d’opposer leur réalité aux jongleries statistiques des autorités médicales. Près de 7000 personnes ont ainsi raconté leur histoire, invitant aussi un nombre croissant de médecins et d’infirmières à courageusement prendre la parole (voir Vaxxed TV sur Youtube).
Alors que les officiels tentent à tout prix de masquer l’affaire en concentrant leur attention sur la personne du réalisateur, le Dr Andrew Wakefield, on s’étonne du manque d’intérêt des autorités sanitaires quant à une nouvelle investigation approfondie sur la sûreté des vaccins et du vaccin ROR en particulier.

www.vaxxedthemovie.com et www.suretevaccins.com

TABOU ET RHÉTORIQUE VACCINALE…
Tout récemment, un journal suisse a titré : Un jeune homme meurt de la rougeole… Il souffrait d’une leucémie et son vaccin ne l’a pas assez protégé. Tout en ajoutant : «Nous ne savons pas où il a attrapé la maladie». L’article ne dit pas si l’on a cherché à déterminer l’origine sauvage* ou vaccinale du virus. Un médecin ou un lecteur averti suspectera un accident vaccinal chez une personne pour laquelle la vaccination est contre-indiquée, mais il suffit de quelques énoncés habiles pour renverser le propos. (9)
Ce fait divers illustre à quel point la question du dommage vaccinal et de la sûreté des vaccins est devenue complètement taboue. L’ensemble des institutions scientifiques tentent d’éviter le sujet en le remplaçant par l’étude psychologique des personnes qui ont des hésitations sur la vaccination. Exemple lors de la journée organisée en février dernier, sur la “confiance et défiance vis-à-vis des vaccins” à l’Académie des Sciences à Paris ou lors de la journée Dans les coulisses de la vaccination à Bruxelles en avril 2016, où on se borne à étudier les techniques de persuasion des patients sans s’interroger réellement sur les véritables causes de la méfiance.

Devant le manque de preuves d’un rapport bénéfices/risques favorable d’une vaccination systématique contre la rougeole, mais aussi de l’augmentation des dommages vaccinaux et du manque de transparence concernant les études scientifiques, le fait que cette vaccination ait été déclarée prioritaire dans l’Agenda de la Sécurité Sanitaire Globale (mondial), par l’OMS, le CDC, UNICEF, GAVI, la fondation Bill et Melinda Gates, et nos pays européens, reste totalement incompréhensible…

* Le virus “sauvage” est celui qui est véhiculé par la maladie naturelle, tandis que les virus vaccinaux sont des virus « recombinés » ou génétiquement modifiés. En principe, il est possible de détecter si la maladie est d’origine “naturelle” ou d’origine “vaccinale”.

(1) Mégadoses de vitamine A : Yang HM, Mao M, Wan C, La vitamine A contre la rougeole chez l’enfant, 6 juillet 2011, Étude Cochrane. www.cochrane.org/fr
Rapport OMS : le traitement de la rougeole chez l’enfant. WHO/EPI/TRAM/97.02. www.who.int/immunization
(2) Autiste depuis le Vaccin, de Martin Walker-Smith, traduit par Françoise Berthoud.
(3) Autisme et inflammation cérébrale : Prof. Martha Herbert, neurologue enseignant à la Harvard medical school La science au service de l’espoir, conférence en ligne sur www.congressortirdelautisme.com ou The autism revolution site et livre.
(4) 20min.ch, édition du 27 mars 2017.

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