communauteSans
Communauté
boutiqueSans
Boutique
Image décorative. En cliquant dessus, on découvre les différents abonnements proposés par Rebelle-Santé
S’ABONNER

La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Quelques trucs anti-poux de Sophie Lacoste

Quel est l’animal qui change de couleur après le repas ? Le pou. Eh oui, ce petit animal translucide se teinte de rouge ou de marron, et devient même presque noir lorsqu’il est rassasié ! Armé de trois puissantes paires de pinces avec lesquelles il s’accroche au cuir chevelu, il prend deux à quatre repas par jour en vous suçant le sang pendant une demi-heure à chaque fois. Sa salive est urticante : d’où les démangeaisons !

De l’huile d’olive
Un « truc » très efficace : il s’agit d’enduire le cuir chevelu et les racines (les endroits où sont situés poux et lentes) d’huile d’olive et de laisser agir toute la nuit sous un bonnet. Le lendemain, passez la tête au peigne fin. Vous pouvez ajouter quelques gouttes d’huile essentielle de lavande ou d’arbre à thé pour encore plus d’efficacité. « Noyé » dans l’huile, le pou est étouffé. Il faut passer du temps à retirer les lentes et recommencer l’opération au moindre doute. C’est un traitement d’une parfaite innocuité.

Huile essentielle de lavande
Pour éliminer les poux, massez bien tout le cuir chevelu avec une compresse imbibée d’essence de lavande. Couvrez la tête d’un bonnet pour la nuit. Les poux fuient l’odeur de lavande et sont faciles à attraper. Renouvelez éventuellement l’opération une ou deux fois.
Attention de bien prendre de l’huile essentielle de lavande fine (Lavandula angustifolia) pour ne pas irriter le cuir chevelu.

Le vinaigre de lavande
Faites macérer pendant dix jours 100 g de fleurs fraîches de lavande dans un litre de vinaigre de vin blanc (bio de préférence !). Filtrez et conservez dans un flacon bouché. Utilisez ce vinaigre en friction du cuir chevelu pour éloigner les poux.

Magazine

À lire aussi

Pour chasser les poux

Bientôt, la rentrée des classes… Nombre de parents sont impatients, le jour J, d’escorter leur(s) chérubin(s) vers leur établissement scolaire, certains par conviction, d’autres par nostalgie (qui se niche parfois dans l’odeur du tableau, de la craie, de l’encre et du papier) de leurs années joyeuses passées à l’école, et d’autres encore pour… le calme enfin retrouvé une fois leur “marmaille” dans les mains d’un(e) maître(sse).