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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Ce bateau rebelle…

Depuis que Sophie Lacoste a croisé mon chemin, j’ai compris que Rebelle-Santé réservait des milliers de surprises à celles et ceux qui l’approchent. Moi, je m’en suis approchée et j’ai sauté sur le pont du bateau !

Il y a seulement une demi-année que je navigue sur ce bateau Rebelle. C’est un bateau de belles surprises, un navire de vraies rencontres.
Les 19 et 20 septembre dernier, c’est à Besançon qu’elles ont eu lieu. A priori, il n’était pas question de Rebelle-Santé, puisque j’y étais invitée pour le salon du livre Les Mots Doubs où je présentais mon roman La maison du Bosphore. Je suis toujours très heureuse de pouvoir approcher mes lecteurs, discuter avec eux, comme si, après un dur travail de semence, je voyais sortir les fleurs. Mais ce voyage, ma présence au salon, c’était pour La Maison du Bosphore. Je ne m’attendais pas, là, à rencontrer, durant ces deux jours, six abonné-e-s, six ami-e-s, six amoureux et amoureuses de Rebelle-Santé. Ces six personnes sont arrivées avec le magazine à la main, nous nous sommes embrassé-e-s, on a versé notre larme !
Depuis six mois, ces charmantes personnes suivent ma rubrique avec une grande attention. Nous avons alors momentanément ou­blié le salon et nous avons parlé un long moment de pissenlits, de médecine chinoise, de traitements dans les hôpitaux, d’autonomie par rapport à notre santé… Toutes me connaissaient depuis le reportage que Sophie Lacoste avait consacré à mon histoire en juin 2013, dans lequel j’avais parlé de la pharmacie de ma mère, des tisanes, de l’eau de rose… Marguerite Fumey, une fidèle abonnée de la première heure, m’a montré ce reportage et m’a chuchoté : « Je ne touche jamais aux pages de Rebelle-Santé ; je ne le découpe jamais, là c’est vrai­ment exceptionnel. Tu sais, j’utili­se l’eau de rose et je vois que c’est efficace. » On se tenait les mains, émues. Ce fut une grande expérience pour moi. En tant que sociologue, j’étais particulièrement émue de suivre la trajectoire de ce journal à partir du vécu et du ressenti de ses lecteurs ; j’écoutais par un autre canal l’histoire de ce bateau sur lequel j’ai embarqué depuis quelque temps.

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