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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Allergies respiratoires et cutanées ?

L’homéopathie peut les prévenir et les soulager

Pollens, graminées, moisissures, poussière, acariens, plantes urticantes… Le printemps, c’est la grande saison des allergies !

Certes le soleil revient, les jours rallongent et on repart batifoler sur les petits chemins de campagne, randonner, humer, admirer la nature. Mais parfois, on dirait que tous se liguent pour nous faire éternuer, agresser nos yeux pour les faire pleurer ou démanger à l’extrême, tousser… bref, provoquer une allergie respiratoire. Mais s’ils étaient les seuls ! D’autres éléments sont capables de susciter les mêmes symptômes, comme la pollution, la pilule (si si !), les déjections de cafard (si si aussi !), des aliments et des boissons, des résidus de peinture ou d’autres produits de bricolage, de mobilier… en fait la liste est interminable. Plutôt que de s’acharner à trouver le coupable parfait, sans pouvoir forcément l’éliminer, il est souvent plus pragmatique et efficace de modifier son terrain pour que l’organisme « accepte » ces mini agresseurs volatiles sans déployer les grandes manœuvres allergiques, aussi inutiles qu’épuisantes.

L’allergie peut aussi se manifester sur la peau. Le responsable peut alors, là encore, être une plante, mais urticante. La plus connue est bien sûr l’ortie, qui provoque l’urticaire type (d’ailleurs elle en tire son nom), mais la berce (grandes feuilles, souvent près des pièces d’eau), le poinsetia, le chardon, le figuier ou même le ginkgo peuvent tous laisser de très mauvais souvenirs : sève, fruits, écorce peuvent être en cause, selon la variété. Méfiance.

LES MULTIPLES AVANTAGES DE L’HOMÉOPATHIE CONTRE LES ALLERGIES
Une parfaite efficacité si vous trouvez exactement le remède adéquat. Et zéro fatigue, zéro somnolence (donc on peut conduire, par exemple, ce qui est souvent déconseillé avec les antihistaminiques classiques), zéro bouche sèche.
Mais son utilisation réclame un certain savoir-faire et nécessite souvent une consultation chez un bon homéopathe, pour une efficacité optimale. Car ici, le symptôme est une chose, mais le terrain, c’est-à-dire votre façon de réagir d’une manière générale, compte beaucoup. Et cela, seul un expert homéopathe aguerri peut s’en approcher au plus près. Cependant, vous obtiendrez déjà de spectaculaires résultats en piochant parmi les remèdes suivants.

POSOLOGIE GÉNÉRALE DES MÉDICAMENTS
En prévention : les granules ont un CH « moyen » et sont à prendre de manière espacée. Cas type : se protéger du rhume des foins ou d’un « week-end à la campagne ».
En traitement (crise) : les granules ont un CH plus faible et sont à prendre de manière rapprochée, parfois tous les quarts d’heure pendant 1 heure en cas de « crise violente ».

SPÉCIAL « ALLERGIE AU POLLEN » (RHUME DES FOINS)
PRÉVENTION
=> Psorinum 9 CH, 1 dose par semaine.
Démarrez 1 mois avant l’apparition des symptômes. Continuez toute la saison.

TRAITEMENT « DE BASE » (symptomatique, pour tous)
Sauf mention particulière, prenez le médicament homéopathique indiqué à raison de 3 granules, 3 fois par jour (ou toutes les 15 mn en paroxysme de crise, puis espacez à toutes les heures) jusqu’à apaisement complet.

1/ ANTI-ALLERGIE
Vous avez la trilogie classique : yeux qui coulent, nez qui coule, éternuements
=> Histaminum 15 CH.
Si en plus vous toussez
=> prenez plutôt Poumon histamine 15 CH.

Prenez en plus :
2/ ANTI-ALLERGÈNE
=> Pollens 5 CH.

Prenez en plus :
3/ ANTI-INFLAMMATION (pour calmer le nez et les yeux)
=> Apis mellifica 12 CH.

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