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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Dégénérescence cortico-basale

« Je vous écris pour mon amie atteinte malheureusement d’une dégénérescence cortico-basale (DCB). Le diagnostic a été long, mais il est fixé aujourd’hui sous le nom de DCB. Auriez-vous des conseils ou autre afin de soulager ou diminuer les symptômes afférents à son état ? Je vous remercie d’avance de l’aide que vous pourrez peut-être lui apporter. »

Mme L. de Gironde

Réponse de Robert Masson

Madame,

Ne connaissant pas votre âge, ni votre taille, ni votre poids, ne connaissant pas non plus vos antécédents, ni vos traitements actuels, je vous conseille ce qui suit :

➡ Abstention totale des alcools, du tabac, des produits sucrés à l’aspartame.

➡ Éviction du portable, usage exclusif d’un téléphone avec fil.

➡ Réduction importante de la caféine. Le café ne sera jamais pris entre les repas, mais toujours en fin de repas si l’on y tient.

➡ Suivre l’alimentation indiquée dans l’ouvrage Diététique de l’expérience*, en ne prenant des aliments protéiques animaux que le midi si la pression artérielle est élevée ou si le rein est déficient.

➡ Siestes souhaitées après les repas.

➡ Si possible, sorties dans la nature, bien sûr aidée et accompagnée.

➡ Au réveil, dans de l’eau : 20 gouttes Acidum phosphoricum composé Boiron.

➡ Avant le repas du midi et du soir, prendre dans de l’eau : 5 gouttes Artère cérébrale 8 DH ou à défaut 4 CH et augmenter progressivement jusqu’à 20 gouttes.

➡ Pour les crudités, utiliser l’huile de noix Alvie (SND au 05 53 31 06 50).

➡ Au milieu du repas du midi, prendre une gélule de Calcior (SND).

➡ Au milieu du repas du soir, prendre une gélule de Neuromer (Nutrilys).

➡ Si gingivite, mettre dans de l’eau : 3 têtes de camomille romaine pour préparer une infusion non sucrée et faire des bains de bouche 2 à 3 fois par jour.

➡ Précision importante : s’il y a des difficultés à avaler les gélules, il faut les ouvrir et mélanger le contenu aux aliments.

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Dans les numéros 107 et 108 de Belle-Santé, trois lectrices ont témoigné des méfaits que l’aspartame pourrait causer à des personnes manifestement « sensibles » à cette substance artificielle. Deux de ces lectrices (Colette B., de Seine-Maritime et Mme C., de Saône-et-Loire) ont certifié ne plus souffrir de maux de tête à répétition depuis qu’elles ont arrêté de consommer de l’aspartame.

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