communauteSans
Communauté
boutiqueSans
Boutique
Image décorative. En cliquant dessus, on découvre les différents abonnements proposés par Rebelle-Santé
S’ABONNER

La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Jusqu’au trognon

Saviez-vous que les pommes abritaient environ 100 millions de bactéries ?

Et les pommes bio ont l’avantage de proposer une diversité de bactéries bien plus étendue que les autres, avec des groupes de bactéries – lactobacilles et probiotiques – connues pour leurs effets bénéfiques. Les pommes cultivées de manière « conventionnelle » (c’est-à-dire avec des produits chimiques), quant à elles, contiennent des Escherichia-Shigella, bactéries qui, au contraire, sont pathogènes.

Encore bien des raisons de croquer des pommes bio. Et comme 90 % des bactéries sont dans les pépins, mangez-les jusqu’au trognon !

Magazine

À lire aussi

Pour nous prémunir du risque de nouvelles pandémies…

« Voir un lien entre la pollution de l’air, la biodiversité et la Covid-19 relève du surréalisme, pas de la science », déclarait Luc Ferry dans L’Express du 30 mars 2020, contredisant ce qu’affirme pourtant la soixantaine de scientifiques du monde entier que Marie-Monique Robin a pu interroger pendant le premier confinement. Son livre La Fabrique des pandémies réunit ces entretiens dans une enquête passionnante qui explique comment la déforestation, l’extension des monocultures, l’élevage industriel et la globalisation favorisent l’émergence et la propagation de nouvelles maladies. Non seulement la pandémie de Sars-CoV-2 était prévisible, mais elle en annonce d’autres.

Microbiote intestinal

Trop de médecins n’ont pas encore le réflexe de prescrire des probiotiques en même temps que des antibiotiques. Regrettable habitude quand on sait que plusieurs mois peuvent être nécessaires au microbiote intestinal pour se remettre totalement d’un traitement antibiotique. Si votre médecin n’a pas encore acquis le réflexe probiotiques, n’hésitez donc pas à lui faire lire cet article !