
Je pleure pour ceux qui sont morts en France, en Turquie et dans de nombreux pays. Parler de notre corps et de notre santé devient de plus en plus difficile quand on est entouré de tant de morts. Mais je me dis : « Au contraire Pinar, c’est dans ces moments-là, plus que n’importe quand, qu’il faut défendre la vie. »