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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Se préparer à une anesthésie avec l’homéopathie

Les meilleurs granules avant et après une opération chirurgicale

Des médecins l’ont démontré : l’homéopathie est plus efficace que l’allopathie en prémédication anesthésique. Tour d’horizon de ses nombreux avantages pour le patient comme pour l’équipe soignante.

Grâce à une méthodologie rigoureuse, des médecins anesthésistes de Madagascar ont pu évaluer l’efficacité de l’homéopathie en prémédication anesthésique, mais aussi la comparer à celle de produits allopathiques classiquement prescrits dans les mêmes circonstances.
Les auteurs de l’étude ont observé et enregistré diverses données depuis la visite pré-anesthésique (juste avant l’opération) jusqu’à la période post-opératoire.
Les résultats, très positifs, démontrent tout l’intérêt d’approches complémentaires, au bénéfice du patient, mais aussi de l’équipe soignante puisque ce genre d’approche homéopathique permet également aux soignants de travailler dans les meilleures conditions possibles. Moins chère que les médicaments classiques, ce type de prémédication a aussi l’énorme avantage d’être sans effets secondaires et de rassurer les patients, désireux de pouvoir se préparer le mieux possible avant une intervention.

DES REMÈDES SPÉCIFIQUES
Trois remèdes homéopathiques différents ont été utilisés, suivant leurs actions pathogénétiques et leurs indications : Gelsemium, Arnica et Opium, chacun en dilution 15 CH.

Le Gelsemium : à dose pondérable, cette substance mime les symptômes liés à l’anxiété pré-opératoire comme la fatigue, la faiblesse musculaire et les tremblements, mais aussi d’autres symptômes comme l’asthénie intense et la paralysie des muscles respiratoires. De là, l’efficacité du Gelsemium à dose infinitésimale  sur l’anxiété, sur les effets de la curarisation, de la sédation et sur le réveil des patients.

L’Opium : en cas d’intoxication aiguë, cette substance occasionne une obnubilation générale, une sédation et un état comateux, ce qui correspond au stade de sommeil de l’anesthésie générale. En dose infinitésimale, l’Opium contribue ainsi à l’effet sédatif avec diminution de la sensibilité et de la mobilité de la musculature lisse.

L’Arnica : l’intoxication aiguë donne lieu à des sensations de surmenage et de courbatures généralisées avec apparition d’œdèmes. D’où l’indication d’Arnica en dose infinitésimale pour mieux contrôler les douleurs liées à l’incision chirurgicale, à l’intubation trachéale ainsi que les hémorragies et douleurs pendant et après l’intervention.

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Article écrit par Paul Ferris

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