Maladie de Lyme, un témoignage encourageant !
« Je voudrais vous donner mon témoignage au sujet de la maladie de Lyme.
Un lundi au mois d’août 2011, je faisais une randonnée, avec mon mari, dans une forêt près de Bagnoles-de-l’Orne.Le jeudi de la même semaine, ayant des démangeaisons sur le côté de l’omoplate gauche, j’ai regardé la zone dans un miroir et j’ai aperçu un point noir assez gros. Avec l’aide des ongles de mes pouces (il vaut mieux utiliser un tire-tique NDLR), j’ai réussi à l’extraire de ma peau. En le posant dans ma main, j’ai vu que ce point noir marchait. J’ai tout de suite compris que c’était une tique. Pendant deux jours, j’ai désinfecté avec de l’Hexomédine, ma peau était de couleur rouge, grenat voire violette.
Le lundi 3 octobre 2011, j’ai ressenti une très grande fatigue que je n’avais jamais connue auparavant. A suivi un rendez-vous chez mon généraliste le jeudi 6 octobre, diagnostic : douleurs intercostales. Traitement par Bi-Profénid, Omeprazole et prise de sang prescrite. La couleur de ma peau était violacée sur la largeur d’une main. Pour moi, la tique était en cause.
Vendredi 7 octobre, j’étais incapable de me lever, très fatiguée et douloureuse.
Mercredi 12, les résultats sanguins (analysés à Lyon) montraient un taux de borréliose à 11 kU/l (à moins de 10, le résultat est négatif). J’ai revu mon docteur généraliste qui m’a dit qu’il n’y avait pas de traitement pour la maladie de Lyme car le taux n’était pas assez élevé !!! Ce même jour, je contactais mon naturopathe qui m’a prescrit tout de suite des gélules à base d’huiles essentielles de sarriette, giroflier et tea tree avec application de lavande aspic à l’endroit de la piqûre, ampoules de cuivre-or-argent (j’avais des maux de gorge et une bronchite), Citrobiotic, chlorure de magnésium, ribes nigrum et Drainaflore (Super Diet).
Dimanche 16 octobre, souffrant énormément du côté gauche, je consulte un autre médecin ; même diagnostic que le premier, douleurs intercostales !!! J’étais pliée en deux à cause de la douleur, je ressentais comme des coups de poignard sous le sein gauche, douleurs au niveau du dos, de l’épaule, du bras et de la main gauche avec plaques rouges. Frissons, tremblements, picotements, perte de mémoire, fatigue extrême, je n’arrivais plus à dormir, seulement à m’assoupir 2 à 3 heures par 24 heures depuis 10 jours !
Lundi 17, j’ai vu un autre docteur qui m’a enfin écoutée ! Pour lui, il y avait certainement la maladie de Lyme. Pas de traitement mais prise de sang. Résultats quelques jours plus tard : 46 kU/l.
Mardi 18, j’ordonne à mon généraliste (vu le 12) de me prescrire des antibiotiques. En insistant, j’ai réussi à avoir une ordonnance. Pour lui, c’était psychologique. 24 heures après le traitement, j’ai pu retrouver un peu de sommeil, les douleurs avaient presque disparu. À ce moment-là, je me suis souvenue que dans votre revue Rebelle-Santé n° 133 de mars 2011, vous parliez des traitements naturels pour la maladie de Lyme (article de D. Festy, NDLR). J’ai fait part à mon naturopathe de mon souhait d’être soignée avec les huiles essentielles notées dans la prescription Formule n° 1 et Formule n° 2 pour éradiquer les borrélies.
Dès le mois de décembre 2011, le taux de borréliose était retombé à 20 kU/l. J’ai pris les gélules pendant un an (jusqu’à novembre 2012). À l’époque, je n’ai pas pu me procurer le Tic-Tox. J’ai dû arrêter mon travail pendant 7 semaines, je me suis remise sur pieds, doucement mais sûrement, avec les bons conseils que vous aviez donnés dans notre magazine. Un grand merci à vous, à toute l’équipe, vous faites un travail formidable.»
Mireille F. de Maine-et-Loire