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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Psoriasis : un remède inattendu

Il y a une douzaine d’années, suite à une démangeaison, à l’aide d’un miroir, je découvre sur mes coudes une chose surprenante, blanchâtre, étendue, léger relief finement granuleux… ? Puis aux genoux, avec la particularité de s’étendre rapidement.
Mais qu’est-ce que c’est ? Inutile de vous dire que le chercheur-né était en surpression !
J’ai consulté les revues, les livres médicaux et deux importants traités de dermatologie, pour apprendre que ce mal était le psoriasis des coudes et genoux, et de comprendre, effondré, que le psoriasis est mondialement réputé : se soigne mais ne se guérit pas !
Je me suis lancé dans la recherche : chimique, physique, biologique, végétale, produits bactéricides, fongicides, d’effets et usages divers. Un élément d’effets communs m’est apparu : l’oxygène. En effet, c’est un redoutable bactéricide, fongicide et autres propriétés… mais comment faire ?
Après réflexion, disposant de peroxyde d’hydrogène, je tente un essai sommaire.
Quelques gouttes dans la main nue, je frotte énergiquement le coude gauche, et surprise, je vois les squames du psoriasis tomber dans le lavabo ! Je passe au coude droit : même réussite !… puis les genoux avec le même résultat immédiat, seule une sensation de brûlure aux coudes, qui a vite disparu (le frottement est indispensable, sinon les squames restent en place).
Toutes mes tentatives antérieures, les plus diverses, étaient jusqu’alors restées sans aucun résultat. J’ai fait le traitement sur trois jours pour faire disparaître la totalité, ce qui a fait apparaître une peau rongée, qui s’est naturellement régénérée avec le temps, mais les marques (rien de spécial sinon de la couleur) sont restées bien visibles plusieurs années. Un mois plus tard réapparition du mal… radicalement détruit en quelques minutes et depuis absolument plus rien. Le traitement, sans précautions, n’a pas révélé d’effets secondaires.
À l’époque, j’ai fait constater la disparition du psoriasis à notre docteur et à la pharmacienne, stupéfaits.
Mais attention : le peroxyde d’hydrogène (eau oxygénée NDLR) est un produit banal, répandu, existant en plusieurs valeurs, d’actions mal évaluées par les gens, qui peut éventuellement être dangereux. (…) »

Monsieur L. d’Indre-et-Loire

Retour au sommaire de Rebelle-Santé n° 178

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