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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Les huiles essentielles contre la grippe

Il n’y a pas plus antigrippe que l’huile essentielle de ravintsara. Complétez par l’eucalyptus radié ou le laurier noble, selon vos symptômes !

Le programme des réjouissances est classique : fièvre, frissons, courbatures, fatigue intense, mal de tête parfois carabiné, symptômes respiratoires (toux, mal de gorge, c’est selon), éventuellement « jambes coupées », « reins en tenaille ».

C’EST LA GRIPPE !
Qu’elle soit saisonnière (celle de l’automne/hiver qui revient chaque année) ou « nouvelle » (grippe aviaire, H1N1, H5N1, etc.) ne change rien à la cause : nous avons affaire à un virus de la grande famille de la grippe, qui se transmet très facilement d’une personne à l’autre. Ce qui explique les épidémies.

VOS HUILES ESSENTIELLES
> Le ravintsara est l’huile essentielle antigrippe parfaite : extrêmement antivirale (elle empêche les virus de se répliquer, donc de proliférer, donc de vous rendre malade et de se propager), elle soutient en outre fortement l’immunité. En plus, très antiseptique, elle entrave aussi le développement bactérien, donc une éventuelle surinfection (bronchite…) en cas de grippe avérée. Parfaitement tolérée, elle peut être utilisée chez les enfants et même les femmes enceintes (avec précaution bien sûr), ce qui évite bien des tracas.
> L’eucalyptus radié est fortement antiseptique des voies respiratoires. Il aide à respirer, car il évacue les sécrétions nasales et bronchiques. Lui aussi est très bien toléré, comme le ravintsara. À utilisez en complément du ravintsara si vous souffrez surtout de symptômes respiratoires : toux, bronches enflammées, nez qui coule ou au contraire bouché.
> Le laurier noble. À utilisez en complément du ravintsara si vous avez tendance aux surinfections (sinusite, bronchite…

CONSEILS
> Lavez-vous les mains ! La grippe est une maladie virale qui se transmet par voie aérienne (toux, postillons) et parce que l’on touche des objets (poignée de porte, clavier d’ordinateur, téléphone, rampe d’escalier…) contaminés par des personnes ayant éternué ou toussé… ou n’ayant pas lavé leurs mains. Se laver régulièrement les mains à l’eau et au savon (les produits plus agressifs type gels antiseptiques sont inutiles et même contre-productifs), dès que vous rentrez de l’extérieur (métro, magasins, bureaux…) diminue fortement le risque d’être contaminé.
> Diffusez des huiles essentielles anti-grippe. Chez vous, et au travail si vous le pouvez, diffusez des huiles essentielles antivirales (ravintsara, citron, pin…).
> Évitez autant que possible les lieux collectifs. On attrape la grippe d’une personne contaminée. Si vous ne sortez pas de chez vous ou êtes peu en contact avec la collectivité, vous avez toutes les chances d’échapper au virus. Limitez au maximum la foule, y compris évidemment si vous êtes vous-même grippé. Avez-vous vraiment besoin d’aller faire les magasins à l’heure du déjeuner ? Et pourquoi ne pas reporter cette séance de cinéma à la semaine prochaine ?

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Chaque année, dès les premiers frimas, vous avez tendance à attraper des rhumes, une angine, une bronchite. Quand la grippe déferle, c’est pour vous… Bref, vous accumulez les épisodes infectieux hivernaux car votre immunité est faible et, souvent, ces épisodes s’enchaînent, traînent, ou même dégénèrent.

Pour nous prémunir du risque de nouvelles pandémies…

« Voir un lien entre la pollution de l’air, la biodiversité et la Covid-19 relève du surréalisme, pas de la science », déclarait Luc Ferry dans L’Express du 30 mars 2020, contredisant ce qu’affirme pourtant la soixantaine de scientifiques du monde entier que Marie-Monique Robin a pu interroger pendant le premier confinement. Son livre La Fabrique des pandémies réunit ces entretiens dans une enquête passionnante qui explique comment la déforestation, l’extension des monocultures, l’élevage industriel et la globalisation favorisent l’émergence et la propagation de nouvelles maladies. Non seulement la pandémie de Sars-CoV-2 était prévisible, mais elle en annonce d’autres.

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