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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Adieu puces, tiques et vers !

On a souvent le réflexe de faire la chasse aux petites bêtes au printemps, mais plus rarement à l’automne. Pourtant, ces indésirables sévissent tout au long de l’année et une belle arrière-saison favorise même leur prolifération…

DU CÔTÉ DES PARASITES EXTERNES…
GARE AU TIQUES

Profiter des beaux jours de l’arrière-saison, c’est une bonne idée, mais à condition de mettre un répulsif à votre animal (à base de géraniol) et de vérifier au retour qu’une tique n’a pas élu domicile, malgré tout, dans son pelage. En cas d’indésirable en vue, il faut retirer la tique avec un crochet prévu à cet effet sans l’endormir au préalable, faute de quoi, elle largue ses sucs salivaires avec les microbes ou les parasites qu’ils contiennent, dans le sang de votre animal.

GARE AUX PUCES
Le plus souvent, on ne les voit pas. Tout au plus repère-t-on des petits grains noirs qui rougissent lorsqu’on les humidifie (ce sont leurs déjections). Mais surtout, ce qui donne l’alerte, c’est un chat qui se gratte le cou, derrière les oreilles ou qui se lèche plus qu’à la normale ou encore, un chien qui se gratte le cou ou se mordille frénétiquement la base de la queue et l’arrière-train.

DU CÔTÉ DES CHAMPIGNONS TROUBLE-FÊTE…
On a souvent tendance à l’oublier, mais la peau de nos animaux attire certains champignons du genre microsporum (90 % des cas) ou trichophyton (10 %), qui se nourrissent de kératine. Ce sont eux qui sont à l’origine de la teigne, une affection cutanée plus gênante que grave, mais qui a le mauvais goût d’être contagieuse pour les autres membres de la maison, humains compris.
Comme le champignon responsable de la teigne émet des spores capables de survivre sur la peau d’un animal, mais aussi sur ses accessoires, il faut traiter à la fois l’animal malade et son environnement.

DU CÔTÉ DES PARASITES INTERNES…
Les premiers touchés sont les animaux qui consomment de petites proies ou de la viande crue, et ceux à leur contact direct ou indirect. Il n’est pas inutile de recourir régulièrement à des plantes qui créent un milieu intestinal défavorable au développement des vers.
> En homéopathie, on peut donner Viola Odorata + Calcarea Carbonica + Carbo Vegetabilis, tout en 6 CH (3 granules de chaque).

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