Les cosmétiques promettent…
Peut-on (toujours) les croire ?
Un vieux proverbe dit que les promesses n'engagent que ceux qui les entendent. Il faut reconnaître que cette sagesse populaire s'applique (parfois) aussi aux allégations cosmétiques. Pour être "tendance", quelques-unes d'entre elles méritent toutefois une lecture… un peu critique.
Dans le domaine de la publicité et des allégations (ces revendications de ce que le produit promet de faire), la cosmétique est pourvue de quelques règles déontologiques. Parmi les grands principes édictés par l’ARPP française (Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité) ou par les textes européens : l’honnêteté, la véracité, la sincérité…
Selon ces règles, les promesses doivent ainsi être justes, non exagérées et reposer sur des éléments (tests, mesures cliniques, études et littérature scientifiques…) qui prouvent leur exactitude.
Voilà pour les principes. Qui sont, c’est vrai, très souvent respectés.
Ce qui n’empêche pas certaines promesses de se positionner dans une zone (très) limite entre fond de vérité, notions floues et ellipses proches du mensonger.
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