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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Neuf raisons de consommer moins de protéines animales

1- POUR SAUVER LA PLANÈTE
Lors de la diffusion du film « Home » sur France 2, un téléspectateur a demandé : « S’il n’y en avait qu’une seule, quelle serait la mesure à prendre pour sauver la planète ? ». Le panel n’a pas cherché longtemps : « Manger moins de viande ».

2- POUR ÉVITER LA FAMINE
La production d’une calorie animale nécessite dix calories végétales en moyenne, vingt dans le cas du beefsteak. La production céréalière actuelle du monde suffirait à nourrir CINQ FOIS l’humanité actuelle. La famine existe seulement parce qu’une partie de l’humanité (la nôtre) mange trop de produits animaux.

3- POUR NOTRE SANTÉ
En 2004, l’OMS-FAO a publié un rapport sur « l’Alimentation, l’activité physique et la santé » à Genève  pour « prévenir 15 millions de morts évitables à l’horizon 2015 ». La mesure la plus importante : au lieux des 20 à 25 % de protéines habituelles dans la pyramide alimentaire quotidienne, ce rapport ne conseille plus que 10 à 15 %.
En clair : pour votre santé, MANGEZ DEUX FOIS MOINS DE VIANDE. Ce rapport dort dans les tiroirs parce qu’il gêne le bon fonctionnement d’un système économique qui, lui, ne s’occupe pas de notre santé.

4- PARCE-QUE NOUS NE SOMMES PAS DES VEAUX…
Quant aux produits laitiers, c’est le cancérologue Henri Joyeux qui a posé la question à mille euros : « Est-ce que vous avez déjà vu une vache boire du lait ? ».
AUCUN animal adulte ne boit du lait. Et le lait de vache contient des facteurs de croissance pour le veau – qui grandit énormément pendant les premiers mois de sa vie. Chez l’enfant, c’est le cerveau qui doit se développer à la même période. Depuis que les autorités ont encouragé la consommation des produits laitiers pour sauver l’agriculture en détresse, les parents constatent que leurs enfants les dépassent en taille. Or, selon Coluche, on a la bonne taille quand les pieds arrivent bien jusqu’au sol.

5- POUR NE PAS PERMETTRE AUX CELLULES CANCÉREUSES DE SE DÉVELOPPER
Les seules cellules d’un organisme adulte qui profitent des facteurs de croissance contenus dans les protéines animales sont les cellules cancéreuses. Relisez l’article sur « Le rapport Campbell » dans Belle-Santé n° 137 (juillet-août 2011). Ou directement lire « Le Rapport Campbell », Ariane Éditions (2008) : dans des essais de laboratoire, les animaux nourris avec seulement un minimum de protéines ont échappé au cancer – malgré l’administration de fortes doses de substances cancérigènes. TOUS les animaux nourris avec nos 20 % de protéines habituelles l’ont développé. 

6- PARCE-QU’ON SAIT MAINTENANT QUE LES PRODUITS LAITIERS NE PROTÈGENT PAS DE L’OSTÉOPOROSE
Ce ne sont pas les produits laitiers qui préviennent l’ostéoporose, mais une baisse de la consommation du sucre, du sel, et une augmentation de l’activité physique. Et la ménopause n’y est pour rien du tout. Encore Henri Joyeux : « Femmes, si vous saviez », Éditions F. X. de GUIBERT.

7- POUR NE PAS CAUTIONNER DES MÉTHODES BARBARES
Les conditions d’élevage de type industriel sont indignes d’un pays civilisé. Et consommer veut dire consentir. Indignons-nous enfin !

8- POUR ARRÊTER DE POLLUER LE SOUS-SOL
Dépolluer la nappe phréatique de la Bretagne (où l’élevage intensif de porcs fait des ravages) coûtera plus cher à la collectivité que tout ce que cet élevage industriel a rapporté aux agriculteurs. Mais les pollueurs ne sont toujours pas les payeurs…

9- POUR PERMETTRE À NOTRE ORGANISME DE SE NETTOYER TOUT SEUL
Le corps est composé de 15 % de protéines. En consommant une alimentation contenant moins de 15 % de protéines, l’organisme peut nettoyer quotidiennement les cellules mutées. Ainsi, le cancer ne trouve pas la matière première pour se développer. Un patient malade du cancer, par contre, ne devrait pas dépasser 5 % de protéines dans son alimentation, UN QUART de la quantité habituelle. Ou carrément jeûner. Des essais de laboratoire dans ce sens sont encourageants (Valter Longo, Los Angeles PNAS fin 2011).

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Le rapport Campbell

Et si une seule et unique manière de se nourrir permettait de prévenir et même de guérir la plupart des maladies de civilisation ? Ce n’est pas une utopie, mais bien une réalité ! C’est ce qu’a mis en évidence Colin Campbell à l’issue de 40 années de recherches sur l’alimentation et la santé.

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