Argent colloïdal : quand et comment utiliser ce super antibiotique
En cette rentrée 2012, nous avons décidé de nous « rebeller » contre le fait que l'argent colloïdal soit toujours interdit à la vente en tant que complément alimentaire sur le territoire de l'Union Européenne.
LES MICROBES EN ONT UNE SAINTE HORREUR
L’intérêt thérapeutique de l’argent colloïdal est indéniable. On le qualifie, à juste titre, de « super antibiotique ». En effet, il protège très efficacement contre bactéries, virus, champignons et parasites. Largement prescrit par les médecins jusqu’à la seconde guerre mondiale, l’argent colloïdal est rapidement tombé dans l’oubli suite à l’avènement des antibiotiques de synthèse.
Mais du fait de l’accroissement permanent des résistances aux antibiotiques classiques, on constate actuellement un regain d’intérêt, surtout aux États-Unis, à l’égard de l’argent colloïdal qui, outre son efficacité, sa polyvalence et sa sûreté d’emploi, possède un autre atout non négligeable : les bactéries ne semblent pas en mesure de développer de résistance contre lui !
TOXICITÉ
L’argent colloïdal figure parmi les remèdes les plus sûrs qui soient. Il faut en absorber beaucoup pour ne serait-ce que s’approcher du seuil de toxicité. La dose limite a été fixée à 5 microgrammes par kilo corporel et par jour, soit 350 microgrammes pour une personne de 70 kilos, ce qui correspond à 7 cuillerées à café d’argent colloïdal consommées chaque jour pendant 70 ans !
EFFETS SECONDAIRES
Ils sont au nombre de deux : l’argyrie et la réaction d’Herxheimer.
– L’argyrie, une affection bénigne consistant en une coloration gris-bleu de la peau.
– La réaction d’Herxheimer, qui n’est autre qu’une réaction de détoxification.
L’argent tue les micro-organismes pathogènes, mais l’évacuation du matériau mort et des toxines peut parfois dépasser les capacités d’élimination de l’organisme, d’où l’apparition de symptômes tels que maux de tête, douleurs articulaires, transpiration, nausées, rougeurs cutanées, démangeaisons, diarrhée, etc.
POSOLOGIE
À retenir :
– 1 cuillerée à café (c à c) = 5 ml ;
– 1 cuillerée à soupe (c à s) = 15 ml
En prévention : classiquement, 1 c à c par jour ;
En période d’épidémie : jusqu’à 3 c à c par jour.
En traitement d’attaque : possibilité de prendre une dose élevée sur une courte période, notamment en cas d’infections virales.
En soutien d’une affection chronique : 3 à 7 c à c par jour sur une longue période (à définir avec son thérapeute).
Ces posologies s’adressent aux adultes. Pour les enfants de moins de 12 ans, diviser la dose par deux ; pour les bébés, diviser la dose par quatre.
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