Moins de protéines pour ralentir la maladie d’Alzheimer
Une étude de l’USC Davis School of Gerontology montre qu’une restriction protéique conduit, chez les malades d’Alzheimer, à une amélioration de la mémoire et au ralentissement de la progression de la maladie. Ceci s’expliquerait simplement par le fait que les protéines alimentaires sont le principal régulateur alimentaire d’une hormone de croissance appelée IGF-1, associée au vieillissement et aux maladies liées à l’âge.
Pour l’instant, les essais concernent des souris, mais les chercheurs poursuivent les investigations pour savoir si tout ceci s’applique aux humains. Ils savent déjà qu’un apport protéique faible et un faible taux d’IGF-I coïncident avec moins de diabète, de cancer, de maladie cardiaque… De quoi devenir végétarien, non ?
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