Alimentation et bol d’air Jacquier pour mieux respirer
« Je n’ai pas lu dans les différentes réponses apportées à Madame D. du Tarn (Rebelle-Santé n° 211 – décembre-janvier 2019), l’impact sournois mais bien réel, de certains aliments dans les Dilatations des Bronches (DDB) et la Bronchopneumopathie Chronique Obstructive (BPCO).
Deux denrées sont néfastes : la farine de blé (gluten en général), qui favorise la production de mucus, et le sucre en général, et en particulier le sucre blanc industriel, qui est un irritant des voies respiratoires.
Dans la mesure du possible, ils doivent être écartés de notre nourriture.Par ailleurs, la pneumologue m’a vivement recommandé d’avoir une hygiène bucco-dentaire rigoureuse pour minimiser les risques de migration des pathogènes de la cavité buccale, dans les poumons.
En bonus, j’ai une atélectasie (un lobe de poumon qui n’est plus ventilé). Pour minimiser l’hypoxie, je pratique le Bol d’air Jacquier. Mes mains étaient devenues toutes violacées, en toutes saisons.
Avec l’usage du Bol d’air, elles ont retrouvé leur couleur initiale. J’ai alors réalisé que ce changement d’aspect avait pour cause une oxygénation insuffisante.Par ailleurs, en juin dernier, durant une cure thermale, j’ai côtoyé une curiste qui diffusait son expérience en vue d’aider d’autres malades à la recherche de solutions pour aller mieux. Cette personne a effectué deux séjours d’un mois chacun dans un établissement spécialisé dans les maladies respiratoires.
Je la cite : “Maintenant, je me considère guérie par rapport à mon état de santé avant d’aller là-bas”. J’ajoute qu’elle n’omettait pas de préciser que le bénéfice du regain de santé tant physique que moral restait subordonné au respect d’une hygiène de vie assortie d’un accompagnement médicamenteux. »
Courrier envoyé par Mme B. du Finistère