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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Une meilleure oxygénation des cellules…

... avec le bol d'air jacquier®

Inventé par l’ingénieur René Jacquier, décédé il y a une dizaine d’années à presque 100 ans, le bol d’air  diffuse de l’huile essentielle de pin des Landes préalablement peroxydée...

Au début de sa carrière, René Jacquier travaillait comme ingénieur chimiste dans des laboratoires de recherches avec, comme sujets d’étude, les antibiotiques, les hormones, les vitamines, les enzymes… Au fil de ses recherches, l’une de ses préoccupations majeures fut de trouver un moyen permettant une meilleure oxygénation des cellules chez les personnes malades pour renforcer leur vitalité. Et c’est un problème familial, la coqueluche de ses filles, qui le mit sur la bonne voie. À l’époque, le remède proposé pour soigner la coqueluche consistait à faire prendre l’avion aux malades (un petit avion non pressurisé) ; en effet, la brutale ascension entraîne un changement de pression au niveau du sang et, en réaction, les molécules d’oxyhémoglobine (le transporteur de l’oxygène dans le sang) relâchent davantage d’oxygène, immédiatement assimilé par les cellules…

L’oxygénation cellulaire

René Jacquier, s’inspirant de ce « truc », a cherché dans la nature ce qui pouvait ainsi permettre une meilleure assimilation de l’oxygène par les cellules ; c’est ainsi qu’il a découvert l’intérêt des essences terpéniques peroxydées. Il avait d’ailleurs constaté que les lieux de santé se situaient ancestralement dans des forêts de pins et de sapins. Il a donc utilisé l’huile essentielle de résine de pin (térébenthine) pour créer un transporteur d’oxygène. Il fabriqua ainsi un premier appareil  à la fin des années 1940, le fameux bol d’air Jacquier dont la conception, depuis, s’est bien améliorée, avec des performances très intéressantes pour revitaliser l’organisme. C’est un appareil que l’on pose sur une table et avec lequel on procède à des inhalations qui durent de 3 à 15 minutes, pour chasser la fatigue, le stress et, surtout, pour une meilleure oxygénation cellulaire. Or, les formes graves de covid semblent liées à un manque de globules rouges, et par conséquent d’oxygénation cellulaire. Il semble donc logique que le bol d’air, en optimisant la distribution d’oxygène, puisse aider les patients à aller mieux.

L’appareil est assez onéreux, mais on peut en faire des séances chez certains kinésithérapeutes, médecins, etc. (adresses sur www.holiste.com).

*

Ce que vous en dites 

Depuis plus de 20 ans, nous relayons les informations envoyées par des lectrices et lecteurs qui nous semblent pouvoir être utiles à la santé. Plusieurs fois, nous avons ainsi publié des témoignages concernant l’usage du bol d’air Jacquier. Bien entendu, nous sommes tous différents et ce qui peut aider les uns ne fonctionne pas forcément pour les autres, mais cela vaut souvent la peine d’être tenté, d’autant plus quand il n’y a pas de contre-indication*. 

Insuffisance respiratoire

« J’ai 53 ans et je pratique quotidiennement la respiration devant le bol d’air Jacquier, 2 fois par jour, 6 minutes et ce, depuis maintenant 2 ans et demi. J’ai des difficultés musculaires, une myopathie qui entraîne une insuffisance respiratoire. Ma capacité respiratoire est restreinte au point que je ne sens pas l’odeur, paraît-il merveilleuse, de l’essence de pin d’exceptionnelle qualité qui sert de base au principe du bol d’air. J’en ressens un bien-être, un moment paisible, concentrée sur ma respiration et sur des pensées que je choisis positives. Je passe les hivers très confortablement grâce à une hygiène de vie axée sur la qualité, quelques fantaisies et indiscutablement le bol d’air Jacquier que je n’oublie jamais, moi qui suis pourtant un peu papillonnette ! » 

Mme D. de Gironde

Manque d’oxygène

« J’ai subi, en 2004, une opération à cœur ouvert pour le remplacement valvulaire aortique par une bioprothèse associée à un monopont mammaire inter gauche. Je n’ai pas eu de complications, à part un manque de souffle au moindre effort ; il me semblait que ma respiration ne m’apportait pas assez d’oxygène et fréquemment, j’étais obligé d’inspirer profondément pour compenser. Je me suis procuré un appareil “bol d’air Jacquier”. Après quelques jours d’utilisation, ma respiration est redevenue normale, même en cas d’effort. Je suis particulièrement satisfait de mon achat. Cet appareil m’est apparu très efficace. On ne peut critiquer que son prix qui, malheureusement, ne le met pas à la disposition du plus grand nombre. » 

M. W. du Var

Bronchites et rhumes

« Nous avons acquis un bol d’air Jacquier en novembre 2002 pour soulager mon mari, atteint de bronchite dès le moindre rhume, avec tout ce que cela comporte… et double oreiller pour essayer de dormir puisqu’il ne pouvait pas respirer normalement. Dès l’hiver suivant, il y a eu un mieux si bien que la cure thermale prévue en 2003 a été annulée. Depuis, nous pouvons compter les jours de rhume aggravé car il suffit de faire, plusieurs fois par jour au lieu d’une, du bol d’air et d’ajouter quelques remèdes homéopathiques pour régler le problème. C’est profitable pour beaucoup de choses, j’en fais, moi aussi, tous les matins, une séance de 6 minutes, et je n’ai plus le nez encombré. Jamais nous ne dirons assez combien nous l’apprécions. Cet appareil coûte cher, peut-être, mais pour nous, il y a longtemps qu’il est amorti avec la suppression des cures, des frais et du reste ! » 

M. et Mme B. des Deux-Sèvres

Si vous avez testé les effets, vous aussi, n’hésitez pas à nous envoyer vos témoignages.

*Chez les personnes asthmatiques, spasmophiles, allergiques, hyperthy­­roï­diennes, le bol d’Air peut être utilisé, mais de manière progressive par principe de précaution. Son usage est contre-indiqué en cas de réactions épileptiques terpène dépendantes et de réactions allergiques à la térébenthine officinale.

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