Les conséquences du manque de vitamine D au fil de l’existence

Dossier spécial

Un déficit chronique en vitamine D n’est pas sans conséquences sur la santé à court comme à long terme.

Quand les scientifiques jouent les lanceurs d’alerte…

« Il s’agit certainement de la carence nutritionnelle la plus courante et probablement du problème médical le plus courant dans le monde » (Pr Michael F. Holick, Université de Boston, USA).

« Cela a pris près d’un siècle pour comprendre que le rachitisme dont souffraient les enfants dans les pays industrialisés de l’hémisphère Nord était dû à une carence en vitamine D, et cela a pris presque un autre siècle pour réaliser qu’en fait toutes les tranches d’âge, dans ces mêmes pays, étaient concernées par le manque de vitamine D » (Pr Charles Pierrot-Deseilligny, Hôpital de la Pitié-Salpétrière, et Pr Jean-Claude Souberbielle, Hôpital Necker-Enfants-Malades, spécia­listes français de la vitamine D).

« Puisque l’insuffisance en vitamine D existe chez la plupart des gens habitant les pays de moyenne ou haute latitude, puisque la supplémentation en vitamine D pourrait avoir de multiples actions préventives, puisqu’elle est à la fois peu coûteuse et sûre (…), une telle supplémentation devrait donc être médicalement organisée sans plus tarder afin de traiter tous les sujets actuellement en manque, qu’ils soient patients ou « normaux ». »  Charles Pierrot-Deseilligny et Jean-Claude Souberbielle.

Retour au sommaire de Rebelle-Santé n° 168

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