Fasko, illustrateur espiègle et féru de science, vous explique en mots et en images le fonctionnement du corps humain.
Qu’avez-vous dans le sang ?
Dans le dernier épisode, je vous avais promis une rubrique sur le sang, thématique qui revient fréquemment quand on parle d’anatomie. C’est un sujet assez vaste (environ 5 litres). Aussi, dans ce numéro, nous parlerons avant tout de sa composition. Rappelons juste ce qui n’a sans doute pas besoin d’être
Après la digestion, le système urinaire
Dans les épisodes consacrés à la digestion, nous avons suivi le chemin de la nourriture de haut en bas : depuis son ingestion, en passant par sa dégradation progressive, jusqu’à son extraction. Quand j’étais petit, je me demandais comment notre corps faisait le tri entre la nourriture liquide et la
Après l’estomac, suite de la digestion
La dernière fois, nous avons vu comment transformer de la nourriture mâchouillée en bouillie acide. Dans cette rubrique, le bol alimentaire a quitté l’estomac et poursuit son chemin. Nous verrons en quoi il évolue (et comment) au cours de son périple dans les intestins. Après avoir passé la valve du
De la bouche à l’estomac
Dans ce nouvel épisode, nous allons reprendre là où nous sommes arrêtés le mois dernier. Après avoir transformé la nourriture en bol alimentaire avec notre appareil manducatoire, voyons ce qui se passe quand on l’avale. Pour celles et ceux qui ne seraient pas abonnés et qui auraient loupé le numéro
L’appareil manducatoire (la bouche)
Dans la bouche s’effectuent les toutes premières étapes de la digestion, toutes celles qui précèdent l’ingestion et qui composent la manducation : préhension, mastication, insalivation, déglutition. Il y a quelques mois, dans ces mêmes colonnes, souvenez-vous, nous évoquions la bouche et ce qu’elle contient dans le cadre d’une série de
Les yeux (et la vue)
Ce mois-ci, je vous propose de parler d’organes sans lesquels vous auriez beaucoup de mal à lire cette rubrique (et à en apprécier les illustrations). Ce sont des boules remplies de liquide grâce auxquelles on perçoit la lumière. Le poète belge Georges Rodenbach disait que les yeux étaient les fenêtres