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  • Pilules de 3ème et 4ème générations

    Publié par maryse le 10 janvier 2013 à 11:22

    [b]Pilules de 3e et 4e générations : on se moque de nous ![/b]
    50 % des pilules utilisées en France sont de 3e génération, vous savez, celles qui augmentent le risque d’accidents cardio-vasculaires… En France, on a récemment commencé à parler de ces petits comprimés quand une patiente handicapée à 65 % après un AVC a porté plainte. Aux Etats-Unis, plus de 13 000 plaintes ont déjà été déposées contre les laboratoires qui vendent ces pilules. Qu’apportent-elles de plus que leurs ancêtres ? Rien, elles vous empêchent de tomber enceinte tout pareillement, mais avec des hormones aux effets secondaires plus dangereux. Pourquoi ces médicaments ont-ils obtenu une autorisation de mise sur le marché ? Parce que leur brevet plus récent permettait aux laboratoires qui les commercialisent d’en garder l’exclusivité peut-être ?
    Tant que l’affaire n’a pas été relayée par les médias, une femme sous pilule sur deux a avalé chaque jour sa dose dangereuse, avec la bénédiction de notre système de santé (c’est la haute autorité de santé – HAS – qui indique les posologies des médicament et l’Agence Nationale de Sécurité de Médicaments qui donne les AMM – autorisations de mise sur le marché). Aujourd’hui, la HAS recommande de revenir aux première et deuxième générations de pilule et la Ministre de la Santé s’engage : elle promet un déremboursement pour mars 2013 (après avoir prévu septembre) : comme ça, non seulement on laisse sur le marché une pilule dont les dangers sont avérés, mais on fait payer les femmes qui l’avalent. L’art d’écouler les stocks… Chapeau !

    Sophie lacoste

    magvirgin a répondu il y a 12 années, 6 mois 3 Membres · 5 Réponses
  • 5 Réponses
  • maryse

    Membre
    10 janvier 2013 à 11:23

    Le directeur général de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), Dominique Maraninchi, s’exprime sur les pilules de 3ème génération. Interviewé par le Monde, il dit qu’il faut éviter à tout prix une crise de confiance dans les contraceptifs. Il est marrant, lui ! Il réfléchit pour éventuellement modifier les conditions de délivrance de ces contraceptifs. Par exemple, des examens préalables… Sauf que le Dr Béatrice Guigues, gynécologue et vice-Présidente du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF), interviewée par le Journal des Femmes dit clairement : « On n’a pas de test qui nous permette de repérer les femmes à risque. » Et elle rappelle que : « les études, même récentes, font effectivement état d’un sur-risque de thrombose veineuse avec les pilules de 3e génération comparées à celles de 2e génération. » Alors, même si le Dr Guigues, comme Dominique Maraninchi, estime qu’il ne faut pas paniquer, et prend comme motif pour laisser en vente ces pilules le risque d’augmentation des IVG, qu’attend-on pour revenir aux pilules de deuxième génération ? Pourquoi ne pas retirer les 3ème et 4ème générations et garder les autres ? Ce serait si simple. D’après les chiffres annoncés par D. Maraninchi : chez 2,5 millions de femmes prenant des pilules de deuxième génération, situation en France en 2012, le nombre d’accidents cardio-vasculaires est estimé à 500 cas par an. Chez 2,5 millions de femmes prenant des pilules de troisième ou quatrième génération, il est estimé à 1 000 cas par an. En résumé, ça fait tout de même 500 femmes sacrifiées sur l’autel du profit des firmes pharmaceutiques. N’est-ce pas suffisant pour retirer ces molécules du marché ? Il ne s’agit pas de nier l’avancée que représente la pilule pour les femmes, ni de faire augmenter le nombre de grossesses non désirées, simplement de choisir pour le même résultat un médicament qui présente le moins d’effets secondaires.
    Sophie Lacoste

  • marymagnet

    Membre
    19 janvier 2013 à 16:38

    Donc nous avons le droit de payer pour nous empoisonner ! alors qu’auparavant c’était pris en charge par la sécurité sociale !
    c’est une « belle » avancée…. toujours le profit des laboratoires qui nous font avaler notre « poison quotidien »….

    Quelle serait la solution naturelle d’un contraceptif qui ne serait pas néfaste pour notre santé et notre environnement ?

    Il y a des plantes pour cela, les chamanes les utilisent, mais quelles sont-elles ?
    J’ai aussi entendu parler d’HE de graines de carottes, connaissez-vous ce « traitement » et si oui, qu’en pensez-vous ?
    Merci !

    Marie

  • magvirgin

    Membre
    20 février 2013 à 13:46

    Il y a également la méthode billing. Méthode consistant à étudier la consistance de la glaire cervicale.
    Je vous mets le lien pour de meilleures explications: http://contraception.comprendrechoisir.com/comprendre/methode-billings

  • marymagnet

    Membre
    24 février 2013 à 09:05

    Merci pour ce lien. Ce n’est pas une méthode très concluante….

  • magvirgin

    Membre
    24 février 2013 à 21:15

    moi je l’ai fait pour tomber enceinte, et je peux vous dire que quand la « glaire » était sèche et cassante je ne tombais pas enceinte.
    C’est une très bonne méthode, mais il faut se connaître parfaitement.

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