Je fleuris mon jardin avec des annuelles

L’essentiel à savoir
Dans le commerce, le terme « annuelles » désigne des plantes cultivées variées, plutôt herbacées, à vocation potagère ou ornementale. Leur mode de culture, leur coût et, surtout, leur impact écologique diffèrent. On distingue :
- les « annuelles exotiques » : des plantes pérennes originaires de milieux tropicaux qui meurent au premier froid. Elles sont à renouveler tous les ans ou à conserver d’une année sur l’autre par bouturage ou hivernage ; c’est le cas des géraniums, des bégonias, des cannas… Notez qu’en climat doux ou dans un lieu abrité, on peut voir « repartir » au printemps des géraniums oubliés dehors, des capucines ou des chrysanthèmes…
- les « annuelles botaniques », c’est-à-dire les « vraies » annuelles, qui déroulent leur cycle sur une saison. En 6 à 7 mois environ, elles germent, se développent, fleurissent, produisent des graines et meurent. Par définition, ce sont des herbacées. Elles ne vivent qu’une saison et n’ont pas d’organe de réserve (bulbes, racines tubéreuses…). Leur hivernage n’est pas possible, même au chaud ! Ces annuelles botaniques sont plus ou moins rustiques. Certaines se sèment dès mars en pleine terre.
Au même titre que les annuelles, on cultive des bisannuelles et des vivaces de nos régions, ce qui nécessite d’acheter des plants prêts à fleurir ou de les produire tous les ans.
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