Prévenir ou soigner naturellement la grippe tout en respectant les ressources végétales

1. Un homme malade avec un thermomètre, enveloppé dans une couverture, tenant un coussin en forme de cœur, symbolisant la fièvre et l'inconfort, sur fond bleu pastel.

Chaque année, à l’approche de l’hiver, le spectre de la grippe et des infections saisonnières ressurgit avec la perspective d’une semaine exténuante de fièvre et de symptômes ORL pénibles, d’une fatigue et d’une toux post-grippe parfois tenace, voire de symptômes dépressifs ou de surinfections qui peuvent menacer le pronostic vital de sujets fragiles ou âgés.

Outre la vraie grippe – un influenza virus dont la souche la plus virulente se recombine tous les ans –, de nombreux autres virus dont les parainfluenzae, les rhinovirus et autres peuvent donner des tableaux similaires ou un peu atténués.

Prévenez

Prendre soin de son système immunitaire – alimentation, sommeil, activité physique, gestion émotionnelle – permet souvent de passer au travers de la grippe. Certains compléments alimentaires peuvent être utiles, voire capitaux, comme la vitamine D, dont la carence prédispose à des infections plus nombreuses et plus sévères. Il faut se supplémenter dès l’automne et jusqu’au printemps, idéalement par une dose quotidienne. Le zinc a montré une certaine efficacité en prévention des infections ORL ou pour en atténuer les symptômes et en ralentir la durée : prendre en cure 15 mg par jour, idéalement en sels organiques type gluconate ou bisglycinate. Ce qui est efficace en prévention aidera aussi en cas d’infection déclarée, mais autant limiter les dégâts.

Pour lire la suite

Déjà abonné·e ?

Magazine

À lire aussi

Les épices de santé

Qu’est-ce qui fait l’une des grandes richesses des cuisines indiennes et thaïlandaises, entre autres ? L’art subtil de manier les épices, bien sûr ! Partie intégrante de la tradition gastronomique de la plupart des pays du Sud, ces dernières n’ont pas leur pareil pour relever subtilement les mets, même les plus simples.