Gardasil® suite…

Suite à l’article sur le cancer du col de l’utérus que vous avez publié dans le N° 139 de Rebelle-Santé, il me paraît très important de porter à la connaissance du public ce qui suit concernant le Gardasil® :
Le vaccin Gardasil®, qui est le plus utilisé en France parce que recommandé par les autorités sanitaires, contient, à titre de conservateur, du borax (borate de sodium).
Or, depuis le 6 novembre 2008, les sels de bore sont classés par la réglementation européenne comme toxiques. Les emballages doivent porter le logo à tête de mort avec les indications suivantes :
–    R60 (peut altérer la fertilité) et
–    R61 (risque pendant la grossesse d’effets néfastes pour l’enfant).
Il paraît pour le moins imprudent d’utiliser un tel conservateur quand on sait qu’au cours des études cliniques préalables à la mise sur le marché, des femmes vaccinées, tombées enceintes dans les 30 jours après leur vaccination, ont eu des bébés anormaux. D’après « Judicial Watch » aux Etats-Unis, sur 77 femmes vaccinées pendant leur grossesse, 33 ont eu des effets indésirables allant de l’avortement spontané à des anomalies fœtales. Ne risque-t-on pas de se retrouver dans les années à venir avec un scénario du type Distilbène ? Rappelez-vous ces femmes qui ont pris du Distilbène dans les années 60-70, en théorie pour éviter les fausses couches, et dont certaines ont été atteintes ensuite de cancers de l’appareil génital. Le pire est que leurs filles, qui n’ont pas pris ce médicament, ont eu elles aussi des problèmes pour mener à bien une grossesse et sont atteintes également de cancers génitaux. Les mêmes dégâts sont maintenant enregistrés chez les petits-enfants (donc la troisième génération). Nous risquons de payer très cher l’utilisation de ces vaccins contre l’infection du col de l’utérus.
Cette information figure dans la dernière édition de mon livre « Vaccinations, les vérités indésirables » (Editions Dangles, mars 2011). »

Michel Georget, agrégé de biologie, professeur honoraire des classes préparatoires aux grandes écoles biologiques.

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