Parkinson, l’exercice physique très bénéfique

Dans son livre Ma Victoire sur Parkinson (publié aux éditions Mosaïque-Santé), Jean-Claude Prévost explique combien le rôle de l’activité physique est essentiel dans sa prise en charge de la maladie. Une nouvelle recherche menée à l’Université du Sacré-Cœur de Milan vient encore conforter ce que l’on savait des effets neuroprotecteurs de l’activité physique. Pratiquée de manière intensive, elle ralentit l’évolution de la maladie en améliorant la survie des neurones, la plasticité cérébrale, le contrôle moteur et la fonction visuo-spatiale (faculté de localiser les éléments alentour les uns par rapport aux autres).

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En France, environ 200 000 personnes souffrent de la maladie de Parkinson. Pour rappel, il s’agit d’une affection neurodégénérative d’origine multifactorielle dont le diagnostic se fait hélas trop tard, c’est-à-dire une fois que la destruction massive des cellules nerveuses dans les zones du cerveau responsables des mouvements – en particulier dans une zone appelée « substance noire » – a fini par provoquer l’apparition des troubles moteurs caractéristiques de la maladie : tremblements, difficulté du mouvement, rigidité musculaire.