Férue de cosmétique, Nathalie Aupareur a d’abord enquêté sur la composition de nombreux produits mis sur le marché avant de proposer des alternatives naturelles aux soins de beauté commercialisés. Chaque mois, elle propose de fabriquer soi-même ses cosmétiques.

Mes cosmétiques anti-gaspi avec un reste de citron
C’est la saison du citron ! Et cette petite bombe de bienfaits jaune mérite qu’on en mette partout ! Dans ses vinaigrettes (qui en deviennent des « citronnettes »), sur un filet de poisson pour en rehausser le goût, dans ses grogs, ses tisanes et ses gâteaux… Et s’il ne reste qu’un

Mes cosmétiques anti-gaspi avec une cuillère d’huile
Il en reste (toujours !) un fond de bouteille qui encombre le placard de la cuisine… Pas assez pour faire une vinaigrette, un peu trop pour en graisser le fond d’une poêle avant de se faire cuire une omelette… On ne va pas la laisser rancir, quand même ? Non,

Mes cosmétiques anti-gaspi avec un reste de gros sel
Vous avez cuisiné un pot-au-feu, ou préparé un poisson à l’étouffée en croûte de sel, et il vous reste l’équivalent de quatre à cinq cuillères à soupe de gros sel ? Trop bien ! Plutôt que de le jeter devant le pas de votre porte, un jour de neige pour

Mes cosmétiques anti-gaspi avec un peu de yaourt
Il en reste toujours un, proche de sa date de péremption, tout en bas du frigo. Ou une cuillère au fond d’un pot qu’on n’a pas eu l’appétit de terminer. On ne va pas le jeter, quand même ? On peut s’en servir pour lier une sauce en remplacement de

Mes cosmétiques anti-gaspi avec des coques de noix
Si on est un peu doué(e) de ses mains, on peut en faire de petits bateaux en guise de jouets pour le bain des enfants, avec juste une allumette et un petit bout de tissu… Mais le plus souvent, on jette les coques de noix après avoir dégusté les fruits.

Mes cosmétiques anti-gaspi avec un reste de fraises
C’est la pleine saison des fraises et on a eu les yeux plus gros que le ventre en allant faire le marché ? Et voilà qu’elles commencent à être un peu trop mûres ? On ne va pas les laisser se perdre, quand même ! Si on en a assez