Re: alopécie androgénétique…
Bonjour Mélusine,
Je viens de voir votre message et je comprends votre désarroi face à l’annonce du diagnostic du médecin.
Pour ma part, j’avais 37 ans ans lorsque le même diagnostic est tombé. J’en ai aujourd’hui 10 de plus.J’ai suivi le traitement à la minoxidil les premières années. Je ne voulais pas prendre la pilule ni aucun traitement hormonal. D’abord consciencieusement, puis juste par petites cures au cours de l’année.
J’ai toujours détesté ce produit. D’abord parce qu’il me rappelait sans cesse que j’avais un problème ; et parce qu’il m’agressait le cuir chevelu et qu’il rendait ternes mes cheveux.
Je l’ai abandonné définitivement il y a deux ans. Je me cantonne aux traitements oraux et n’ai pas constaté que mes cheveux tombaient plus. Je redouble surtout de vigilance à l’automne ou la chute est plus forte.
Mais surtout, j’ai abandonné mes colorations chimiques et me suis tournée vers la coloration végétale et les soins ayurvédiques.
De l’ortie, du bhringaraj et pleins d’autres poudres avec lesquelles je bichonne mes cheveux. J’ai rapidement constaté que mes cheveux revivaient. Beaucoup plus vigoureux, quasiment plus de chute (sauf en automne). Mes cheveux poussent très vite et j’ai plus de masse. Je m’approvisionne chez un fournisseur de confiance. Aujourd’hui, soigner mes cheveux est devenu un rituel. Quand ils sont beaux je m’en réjouis ; et quand je les perds comme en ce moment, je redouble d’efforts et je ne panique plus. Je suis plus zen, le cercle vicieux est rompu.
Loin de moi l’idée de vous inciter à ne pas prendre le traitement conseillé par votre médecin. Je voulais simplement, grâce à mon témoignage, vous dire que les plantes que vous utilisez pour les soigner peuvent être une solution.
Je suis à votre disposition si vous avez des questions.
Cordialement
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