Orgonite
Dans votre numéro du “Petit Journal de Rebelle-Santé” n° 163, à la rubrique témoignages, une de vos lectrices, Mme P. de la Sarthe, soulignait l’importance de la géobiologie. Cette personne mentionnait également qu’elle avait utilisé des orgonites à inductions pour se protéger des nuisances d’une antenne-relais de téléphonie mobile qui polluait son habitation à un taux de 35 % et après positionnement de ces orgonites, le taux était retombé à 0 %. Je voudrais savoir de quelle manière on peut effectuer des mesures de taux de pollution de ces ondes électromagnétiques. De quelle manière peut-on positionner ces orgonites et comment mesurer leur efficacité ? »
Jean-Paul S. du Pas-de-Calais
Il n’est pas simple de trouver le pourcentage de pollution soi-même, il faut souvent avoir recours à une personne qui pratique la géobiologie ou la radiesthésie. Je pratique les deux, c’est comme ça que j’ai pu mesurer le pourcentage de nuisances de l’antenne-relais près de chez moi. Étant en campagne, celle-ci est relativement loin de ma maison mais, si on habite en ville, le pourcentage est bien supérieur.
Vous ne précisez pas si vous êtes en appartement ou en maison, je vais essayer de répondre pour les deux cas :
En appartement, il suffit d’installer chez soi, une orgonite « normale » qui va couvrir 80 m² de surface (il en existe de différents tailles à différents prix), à multiplier en fonction de la grandeur de l’appartement bien sûr !, elles sont décoratives.
En maison, je conseille les orgonites à induction qui, elles, vont protéger jusqu’à 150 m² , il suffit d’en installer une à chaque coin du terrain surtout à l’endroit où l’antenne-relais émet le plus. On peut aussi mettre de petites orgonites sur son compteur électrique, sur sa box internet et dans sa cuisine pour éviter les ondes des appareils électroménagers.Il est à noter que les premiers temps, notre corps peut ressentir des désagréments face à un afflux d’orgones auquel nous ne sommes pas habitués (insomnies, maux de têtes, mal-être), je dirais que c’est bon signe, le corps se purifie. »
Mme P. de la Sarthe
Retour au sommaire de Rebelle-Santé n° 166