L’apport des vaccinations à la santé publique

Vaccinations : la réalité derrière le mythe

Si vous voulez avoir des arguments à opposer à ceux qui vous prennent pour des fous dangereux et des irresponsables parce que vous ne voulez pas vous vacciner ou faire vacciner vos enfants à tour de bras les yeux fermés, avec ce nouvel ouvrage de Michel Georget, vous allez être servis ! Très simple dans son argumentation, très abordable, très bien documenté, avec des exemples incontestables, ce livre enfonce le clou et vous prouve par A + B que, contrairement à ce qu’avancent les autorités sanitaires françaises, la vaccination n’est pas à l’origine de la régression ou de la disparition des maladies infectieuses ! Michel Georget y explique en détail les risques très importants que représente la vaccination et ses bénéfices très incertains, rappelle les conflits d’intérêt qui existent entre les autorités de santé et l’industrie pharmaceutique, dénonce la pharmacovigilance déficiente et surtout le manque total d’informations… Vous avez là, maintenant, de quoi vous informer…
P. P.

  • L’apport des vaccinations à la santé publique. Michel Georget. Éditions Dangles. Format 15 X 21 cm – 288 pages – 20 €

Retour au sommaire de Rebelle-Santé n° 166

À lire aussi

Vaccination des enfants

À l’heure où le calendrier vaccinal des enfants est déjà hyper chargé et alors que les vaccins peuvent causer des dommages irréparables et imprévisibles chez certains enfants, c’est en étant bien informés que les parents seront en mesure de choisir.

Faut-il se faire vacciner contre l’hépatite B?

Tout récemment, une conférence de consensus sur la vaccination contre le virus de l’hépatite B s’est tenue à Paris. Les recommandations du jury de cette conférence sont les suivantes : vaccination de tous les nourrissons, rattrapage des vaccinations pour les adolescents, imputabilité des effets secondaires à la vaccination non démontrée. Pour le Pr Michel Georget, agrégé de biologie, ce n’est pas une surprise. Rencontre avec ce spécialiste du sujet pour qui le vaccin n’en reste pas moins suspect.