Vaccination des enfants

Le système immunitaire des enfants n’est pas pleinement mature avant 6 à 7 ans d’âge, pourtant, c’est en général dès l’âge de 2 mois (et parfois dès la naissance, comme en Guyane et à Mayotte pour l’hépatite B !) qu’on commence à imposer aux nourrissons toute une batterie de vaccins. Croyant bien faire, de nombreux parents s’en remettent à l’avis du pédiatre sans chercher plus loin. Pourtant, à y regarder de plus près, la santé globale des enfants n’est pas meilleure dans nos pays industrialisés qu’il y a 20 ou 30 ans, époque où on vaccinait nettement moins… Les États-Unis, où les enfants sont les plus vaccinés du monde, sont aussi le pays occidental où la mortalité infantile est la plus élevée. Les enfants y ont déjà reçu 49 doses de 14 vaccins différents à l’âge de 6 ans. Or, un enfant sur cinq souffre désormais de troubles neuro-développementaux et la moitié d’au moins d’une maladie chronique !
Système HLA
Les autorités gagneraient sans doute à encourager à un recours plus systématique avant vaccination aux tests HLA (certains groupes HLA, sortes de « carte d’identité cellulaire », sont associés à un risque accru de maladies auto-immunes comme le diabète ou la sclérose en plaques, par exemple) et aux sérologies (dosages d’anticorps qui permettent de savoir si le vaccin servira à quelque chose).
Par ailleurs, il peut être utile, en cas de vaccination obligatoire, d’avoir recours à l’homéopathie pour limiter les risques d’effets secondaires : cela vaut la peine de consulter un médecin homéopathe pour en parler avec lui.
CONSEILS DE PRUDENCE
– Ne JAMAIS vacciner un enfant malade (même un simple rhume)
– Ne pas donner plusieurs vaccins à la fois (confusion en cas d’effets secondaires)
– En cas d’effets secondaires, ne pas insister témérairement avec d’autres doses
– Vacciner le plus tard possible (diminution des risques d’asthme et de mort subite)
– Redoubler de prudence en cas d’antécédents familiaux de maladies auto-immunes ; d’allergies et de convulsions
– Redoubler de prudence avec les prématurés qui ont un risque accru d’apnées et d’hémorragies cérébrales (encore majoré avec le recours aux vaccins combinés)
– Il peut être sage de faire pratiquer une analyse de sang avant toute vaccination, histoire de pouvoir « comparer » avec une prise de sang ultérieure en cas d’effets indésirables (utilité possible en cas de recours juridique si effet grave)
– Toujours bien lire les notices des vaccins proposés par le médecin AVANT l’injection et ne pas hésiter à l’interroger sur les maladies concernées, les composants, la méthodologie des études de sécurité effectuées, etc.
– Garder scrupuleusement une trace écrite (du médecin) de tous les vaccins effectués avec leurs noms et leurs dates exactes.
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