GLUTAMINE

L’acide aminé capital pour les athlètes et les victimes de gros stress !

Acide aminé le plus abondant dans le sang et dans les muscles, la glutamine y joue différents rôles très importants : pour l’immunité, pour la santé intestinale, pour l’équilibre acido-basique, mais aussi pour la réparation des cartilages et des tendons.

Si vous pratiquez un exercice physique modéré, régulièrement, votre taux de glutamine augmente. Mais si vous faites un effort démesuré, ou si vous subissez un stress intense (choc émotionnel, intervention chirurgicale), au contraire, votre taux de glutamine s’effondre et avec lui celui de vos défenses immunitaires.

POUR QUE LES ATHLÈTES SE RÉPARENT
Parfois, les sportifs n’ont pas le temps de recharger leurs réserves de glutamine entre deux efforts. Le surentraînement et les compétitions à répétition entraînent une prolifération de radicaux libres et les réserves en glutamine des muscles s’épuisent. Une alimentation diversifiée et adaptée et suffisamment de repos entre les efforts sont nécessaires pour ne pas « craquer ». Un sportif qui se réveille fatigué, qui n’arrive pas à retrouver ses performances, qui attrape le premier virus qui passe, est sans doute touché par cet excès de sport venu grignoter ses réserves de glutamine et ainsi faire baisser son immunité !

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Le stress oxydatif

Notre organisme est le théâtre permanent d’un affrontement dantesque entre d’innombrables armées d’antioxydants et de radicaux libres. Un stress oxydatif apparaît à chaque fois que le combat tourne en défaveur des antioxydants. Lorsqu’il s’installe durablement, ce stress oxydatif conduit à un vieillissement prématuré de l’organisme et favorise le développement de nombreuses pathologies. Une alimentation bien choisie aide le corps à ne pas se laisser déborder par les radicaux libres.

Pour nous prémunir du risque de nouvelles pandémies…

« Voir un lien entre la pollution de l’air, la biodiversité et la Covid-19 relève du surréalisme, pas de la science », déclarait Luc Ferry dans L’Express du 30 mars 2020, contredisant ce qu’affirme pourtant la soixantaine de scientifiques du monde entier que Marie-Monique Robin a pu interroger pendant le premier confinement. Son livre La Fabrique des pandémies réunit ces entretiens dans une enquête passionnante qui explique comment la déforestation, l’extension des monocultures, l’élevage industriel et la globalisation favorisent l’émergence et la propagation de nouvelles maladies. Non seulement la pandémie de Sars-CoV-2 était prévisible, mais elle en annonce d’autres.