Bébé : les ingrédients à éviter

Pour un bébé, choisir de "bons" produits cosmétiques est particulièrement important, voire crucial. Mais qu'est-ce qu'un "bon" produit ? Comment ne pas se tromper ? Que faut-il particulièrement éviter pour ne pas mettre sa peau ou sa santé en danger ? Quelques pistes pour choisir le meilleur et se détourner du pire !
Pour un bébé, un “bon” cosmétique, c’est bien sûr un produit efficace et agréable à utiliser. Mais c’est surtout une formule d’une innocuité au-dessus de tout soupçon et d’une tolérance cutanée maximale, de façon à ne pas mettre en danger la santé de l’enfant ni l’équilibre de sa peau si fragile.
ALORS, COMMENT FAIT-ON ?
Et pour être sûr de ne pas se tromper, on n’a pas d’autre solution que de se tourner vers les listes des ingrédients, obligatoirement présentes sur les étiquettes, et qui, seules, renseignent sur ce que le produit contient réellement. L’exercice, c’est vrai, peut paraître ardu et un peu fastidieux. Mais il est indispensable. Et c’est pour le faciliter que voici un récapitulatif des principaux ingrédients à éviter pour les bébés.
Alcohol – Alcohol denat
– Alcool, ou alcool dénaturé.
– Solvant, agent conservateur.
– Asséchant et irritant cutané.
– Potentiellement toxique pour l’organisme.
Ammonium lauryl sulfate – Sodium lauryl sulfate
– Tensioactifs (“faiseurs de mousse” dans les gels lavants).
– Forts irritants cutanés.
– D’autres tensioactifs (-betaine, -glucoside, -glutamate, -amphoacetate…) sont beaucoup plus respectueux de la peau.
Benzoic acid
– Conservateur.
– Irritant cutané.
Benzophenone-2, -3, -4.
– Filtres anti-UV.
– Suspectés d’être perturbateurs endocriniens.
– Fort allergisants.
BHA, BHT
– Antioxydants.
– Potentiellement cancérogènes.
– D’autres antioxydants, comme la vitamine E (Tocopherol) ou un dérivé (Tocopheryl acetate), sont bien préférables.
Butylparaben – Propylparaben
– Conservateurs.
– Suspectés d’être des perturbateurs endocriniens.
– À noter que les Methylparaben et Ethylparaben sont, eux, considérés comme sûrs d’emploi par les autorités sanitaires.
Pour lire la suite et accéder à l’intégralité du site
Déjà abonné·e, connectez-vous !