communauteSans
Communauté
boutiqueSans
Boutique
Image décorative. En cliquant dessus, on découvre les différents abonnements proposés par Rebelle-Santé
S’ABONNER

La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Comprendre l’ictus…

Une lectrice répond à Mme Micheline K. du Pas-de-Calais qui demandait s’il était possible de prévenir la récidive d’un ictus amnésique.

En réponse à votre message paru dans Rebelle-Santé n° 170 (novembre 2014), je n’ai pas de réponse précise à vous apporter mais, ayant été victime de trois ictus amnésiques, je vous fais part de mes observations. Tout d’abord, j’ai constaté, lors du premier épisode, que je n’avais jamais entendu parler de ce problème, mais lorsque, dans mes relations, j’ai relaté ce qu’il m’était arrivé, je me suis rendu compte que plusieurs personnes avaient connu cela, mais on n’en parle pas…
J’ai 76 ans, j’ai toujours eu une vie saine et active. Le premier ictus (le plus important) s’est manifesté au terme d’une réunion. Je suis rentrée chez moi en voiture et à l’arrivée, j’ai demandé à mon mari, une vingtaine de fois quel jour étions-nous, qui m’avait ramenée, etc. Plus aucun souvenir ! Il s’est inquiété bien sûr, et m’a fait conduire aux urgences hospitalières, où j’ai eu la chance d’être prise en charge par la neurologue, chef du service. Après les examens d’usage, elle m’a informée que c’était un ictus amnésique (interruption brutale du fonctionnement de la mémoire immédiate), que je ne devais pas m’inquiéter, qu’il était possible d’en faire jusqu’à trois, mais ne m’a donné aucun traitement.
Lorsque j’en ai parlé à mon médecin, il est resté très évasif. Je pense que ce sujet n’a pas fait l’objet d’études approfondies, et donc pas de traitement approprié.
Je vous fait part de mes remarques. Lors de chaque ictus, j’étais en état de stress, fatigue extrême, tension physique et morale, ou autre. Par ailleurs, chacune de mes connaissances concernées par ce problème était en état de stress, lors de l’ictus (chute de son mari pour l’une, vol dans son magasin pour une autre, conduite de sa voiture de nuit et sous un déluge de pluie pour une autre, etc.). J’en ai déduit (simple supposition de ma part) que lorsque la charge émotive est trop lourde, le cerveau intervient pour “disjoncter le circuit” puisque, après, on ne se souvient de rien… mais alors soumis à une extrême fatigue physique nécessitant quelques jours de repos.
À présent, si je sens monter le stress, en raison d’une inquiétude, fatigue extrême ou autre, je fais aussitôt une cure d’un complexe magnésium + vitamines B1, B5, B6, B9 que j’achète en magasin bio et qui me détend efficacement. Et je pratique la méditation, moyen exceptionnel pour trouver l’apaisement. C’est tout ce que je peux vous dire, mais j’espère que cela pourra vous aider. Pour moi, cela a évité toute récidive ! »

Mme G. du Rhône

Retour au sommaire de Rebelle-Santé n° 174

Magazine

À lire aussi

Le NeuroGel

Nouvel espoir pour des milliers de tétraplégiques et paraplégiques du monde entier, le NeuroGel, un biomatériau synthétique, permettrait de refaire marcher les blessés médullaires porteurs de lésions anciennes, si l’on en croît son inventeur.

Inscrivez-vous à
Pour ne rien rater
Notre lettre info
1 à 2 envois par mois