Dissection : le massacre continue
Selon une vieille note de service n° 93- 260 du 6 août 1993 sur l’expérimentation animale dans l’enseignement, les dissections sont licites sur les vertébrés achetés morts dans le commerce et non pas tués à cette fin par l’enseignant. Mais même si l’on abat les malheureuses souris bien avant le cours, elles sont toujours des dizaines de milliers chaque année, à mourir dans le seul but de servir à la dissection. À l’heure des images et des films en 3D, c’est un massacre bien inutile qui pourrait être évité si seulement notre Ministre de l’Éducation voulait se donner la peine de se pencher sur la question…
Retour au sommaire de Belle-Santé n° 125