Suivez l’actualité santé et environnement avec Sophie Lacoste. En bref !
Infarctus : des signes différents chez les hommes et les femmes
Tout le monde n’a pas mal à la poitrine avant de s’effondrer à cause d’un infarctus. La douleur ou la gêne thoracique sont d’ailleurs plus fréquentes chez les hommes (42 % contre 30 %). Et, plus les femmes sont jeunes au moment de la crise cardiaque, moins elles sont sujettes
168 millions d’Européens malades de la tête…
38,2 %, c’est la proportion annuelle d’Européens affectés par des troubles neurologiques ou une maladie mentale… Anxiété, insomnie et dépression majeure arrivent en tête de ces pathologies. Retour au sommaire de Rebelle-Santé n° 144 Magazine Rebelle-Santé n° 144
Préservatifs : y a un sens !
Le préservatif qui promet une efficacité quasi à 100 % lorsqu’il est utilisé correctement, présente une efficacité réduite si l’adhérence n’est pas parfaite. Le problème, d’après un travail d’analyse des chercheurs de l’université d’Indiana, c’est qu’une mauvaise utilisation le rend parfois inopérant et, en réalité, l’efficacité est plutôt à 80
500 000 épileptiques
En France, 500 000 personnes souffrent d’épilepsie. La moitié d’entre elles voient disparaître leurs symptômes avec les traitements. 30 % ont moins de « crise », mais pour les 20 % restants, les médicaments n’ont pas d’efficacité. Retour au sommaire de Rebelle-Santé n° 144 Magazine Rebelle-Santé n° 144
Du lithium pour la myéline
Le chlorure de lithium, un sel utilisé comme régulateur de l’humeur, favoriserait la remyélinisation des nerfs lésés, comme c’est le cas dans la sclérose en plaques ou le diabète. C’est la conclusion d’une étude menée sur des rongeurs par des chercheurs français et allemands. Devant les bons résultats obtenus, les
Contre l’AVC, des oranges et des pamplemousses
Selon une étude menée auprès d’environ 70 000 femmes, les flavonoïdes de certains fruits seraient de très bons alliés pour limiter les risques d’accident vasculaire cérébral. Le Pr Aedin Cassidy, auteur principal de l’étude et professeur de nutrition à la Norwich Medical School de l’Université d’East Anglia (UK) explique que