Il en faut peu pour être heureux

Et c’est tant mieux, parce qu’avec tout ce qui arrive à notre jolie planète, la frugalité devrait s’imposer !
L’année dernière, le Jour du dépassement était le 28 juillet. Le Jour du dépassement, c’est quoi ? C’est la date à laquelle l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la Terre peut reconstituer en un an. Bien sûr, quand on parle d’humanité, elle n’est pas à mettre tout entière dans le même panier. L’humanité en cause, c’est surtout celle des pays dits développés, autrement dit nous, en France, par exemple. Si vous allez sur la page du site du WWF, vous comprendrez vite que nos modes de vie, notre consommation, notre modèle agricole, etc. sont les grands responsables. “L’Europe et la France ont un mode de vie particulièrement insoutenable : si l’ensemble de l’humanité vivait comme les Français, le Jour du dépassement aurait eu lieu bien plus tôt, le 5 mai 2022.”
En 1986, le Jour du dépassement était le 31 décembre… On vivait sur la corde raide, mais il était quand même possible d’imaginer un futur radieux. Et aujourd’hui ?
Il faut se contenter du nécessaire…
Aujourd’hui, nous sommes de plus en plus nombreuses et nombreux à en avoir pris conscience et à chercher des solutions pour que demain soit possible et meilleur. D’après le WWF, la modification de nos régimes alimentaires serait la première des transformations à mettre en place.
Hyper facile : il nous suffit de manger beaucoup moins de protéines animales (viande, produits laitiers, œufs) et beaucoup plus de protéines végétales, de fruits et de légumes.
Facile : manger moins, voire supprimer les plats industriels et transformés. Donc, cuisiner des produits frais et de saison et acheter le plus possible local, et bio.
Pas difficile : pour ce qui est des protéines animales, choisir des produits venant d’élevages extensifs, et bio autant que possible.
Vous pensez que ce n’est pas grand-chose ? Vous avez raison, et pourtant, en nous appliquant ces quelques règles, nous contribuerons aussi à modifier le modèle agricole, à réduire la déforestation, à préserver la biodiversité, etc.
Plus nombreuses et nombreux nous serons à appliquer ces petits changements, plus grand sera l’impact positif, sans compter les bénéfices sur notre santé, alors relevons le défi ! Continuons à nous mobiliser, cultivons nos jardins et l’esprit de coopération, trouvons des solutions durables pour pouvoir continuer à vivre en préservant le futur et n’oublions pas que l’espoir fait vivre.
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