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La santé naturelle avec Sophie Lacoste

La fracture du col du fémur

On estime à 50 000 par an, le nombre de nouvelles fractures du col du fémur. Les chutes en représentent 98 %. Si on ne peut pas toujours éviter les chutes, on peut toutefois renforcer la solidité osseuse.

Même si les techniques chirurgicales et la qualité des matériaux utilisés ont beaucoup progressé, la fracture du col du fémur reste un accident grave.

DES SIGNES QUI NE TROMPENT PAS
L’impotence est totale : on ne peut plus du tout appuyer sur la jambe ou même bouger la cuisse. Autre signe caractéristique, le membre paraît tourné vers l’extérieur et raccourci. Attention, lorsqu’il ne s’agit que d’une fissure du col du fémur, seule la douleur est présente. Gare à ne pas appuyer sur la jambe blessée en serrant les dents : la fracture peut alors se déplacer ! Dans tous les cas de figure, une radiographie est essentielle pour préciser le type de fracture, qui conditionne le choix de l’intervention chirurgicale.

OSTÉOPOROSE
C’est l’ostéoporose qui constitue la principale explication de la fragilité du col du fémur.

LA PRÉVENTION TOUJOURS
Quelques mesures de prévention permettent de diminuer le risque de fracture.
– Il faut, boire au moins un litre et demi d’eau quotidiennement
– Manger des aliments riches en calcium et en vitamine D
– Ne pas hésiter à pratiquer une activité physique en plein air (la lumière solaire favorise la minéralisation osseuse !) et en “charge”, comme la marche à pied ou la course.
– Enfin, limitez toutes les causes de chutes, lors des levers nocturnes notamment (tapis, somnifères, obstacles divers, escaliers, éclairage insuffisant…).
– Dernier conseil, n’hésitez pas à participer à des “ateliers d’équilibre” si vous êtes un(e) “candidat(e)” aux chutes.

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