communauteSans
Communauté
boutiqueSans
Boutique
Image décorative. En cliquant dessus, on découvre les différents abonnements proposés par Rebelle-Santé
S’ABONNER

La santé naturelle avec Sophie Lacoste

La mémoire de l’eau : les premières preuves scientifiques

Dans mon article sur la dynamisation de l’eau dans le n° 155 de Rebelle-Santé, je vous ai parlé de Masaru Emoto et de ses magnifiques cristaux d’eau. Ces superbes photos nous montraient par l’image que l’eau est perméable à son environnement et que sa structure se modifie en fonction des sons, des images, des mots auxquels elle est exposée.

Mais de l’eau informée peut également transmettre des informations biologiques à une autre eau qui se trouve à des centaines de kilomètres de distance. C’est l’expérience fascinante effectuée avec succès par l’équipe franco-italienne du Professeur Montagnier et d’Emilio del Giudice.

Pour mieux comprendre les secrets de la « mémoire de l’eau », j’ai demandé des explications à Alberto Tedeschi, chercheur et physicien italien (WHITE Holographic Bioresonance, Milan) et collaborateur d’Emilio del Giudice.

Murielle Toussaint pour Rebelle-Santé : Comment définiriez-vous la mémoire de l’eau ?
Alberto Tedeschi :
Soulignons avant tout que l’eau est l’élément qui caractérise le mieux la matière vivante. Une méduse, par exemple, est essentiellement composée d’eau. En rapport avec les autres éléments biologiques dont elle est constituée, la méduse contient proportionnellement plus d’eau que la mer dans laquelle elle évolue. Les substances organiques qui la composent sont donc extrêmement diluées dans l’eau. Et, pourtant, la méduse est capable de chasser, elle ne se déshydrate pas par osmose et elle est urticante. L’eau de la matière vivante est une eau qui présente un degré d’auto-organisation très élevé. Les solutions aqueuses ont en effet des caractéristiques physiques et chimiques quand elles se trouvent près des surfaces biologiques présentes dans la matière vivante (protéines, membranes cellulaires, etc.) car elles subissent les effets de l’interaction avec ces surfaces. Cela rend l’eau « cohérente », c’est-à-dire qu’elle a un degré d’organisation très élevé et une capacité de percevoir et de conserver des champs électromagnétiques très faibles. Si l’on veut parler de mémoire de l’eau, il faut toujours se référer à l’eau cohérente de type biologique présente dans les systèmes vivants. Toute l’eau n’a pas ces caractéristiques (1).

Qu’est-ce qui vous interpelle encore dans l’idée que l’eau pourrait avoir une mémoire ?
Il faut préciser que seule l’eau cohérente est capable de percevoir et de retenir des informations grâce auxquelles elle commence un dialogue avec l’environnement qui l’entoure. Il s’agit d’un véritable état dynamique d’échanges informatifs. Dans ce sens, il est beaucoup plus important que l’eau sache « oublier », plutôt que de se rappeler de manière statique, et ce afin de pouvoir se mettre dans une condition de dialogue spontanément soutenu par la cohérence, elle-même garantie par l’interaction avec la matière vivante.

Pourquoi l’idée que l’eau garde l’empreinte des substances avec lesquelles elle est entrée en contact suscite-t-elle tant de controverses dans le monde scientifique ?
Évidemment parce qu’elle met à nouveau l’eau au centre des débats. L’eau est en effet soigneusement oubliée dans les recherches scientifiques officielles étant donné qu’en dehors du phénomène d’hydrolyse, elle ne présente pas d’activité chimique. Mais, dans le cas de l’eau cohérente de type biologique, un facteur nouveau est introduit : son auto-organisation qui permet d’interagir comme un principe actif. Un nouveau paradigme pour la science !

Selon vous, de quelle façon l’eau s’imprègne-t-elle des substances avec lesquelles elle a été en contact ?
L’eau cohérente de type biologique, grâce à sa cohérence, réussit à se connecter aux faibles signes émis par les substances dissoutes ou non. Un nouveau champ électromagnétique se crée, qui est rendu stable par la cohérence de l’eau biologique. Ce nouveau champ arrive à interagir avec d’autres structures hautement organisées basées sur l’eau et est donc capable de dialoguer avec l’environnement et de se modifier en conséquence.

(1) Un domaine de cohérence est, en quelque sorte, une chaîne de molécules d’eau qui forment un cercle fermé. Le domaine de cohérence, à l’intérieur de ce cercle, permet d’emmagasiner de l’information et de la garder en mémoire. Pour transformer une eau inerte en une eau « cohérente », il faut la dynamiser (voir mon article dans le n° 155 de Rebelle-Santé).

Pour lire la suite

Déjà abonné·e, connectez-vous !

Magazine

À lire aussi

Le NeuroGel

Nouvel espoir pour des milliers de tétraplégiques et paraplégiques du monde entier, le NeuroGel, un biomatériau synthétique, permettrait de refaire marcher les blessés médullaires porteurs de lésions anciennes, si l’on en croît son inventeur.

Pour nous prémunir du risque de nouvelles pandémies…

« Voir un lien entre la pollution de l’air, la biodiversité et la Covid-19 relève du surréalisme, pas de la science », déclarait Luc Ferry dans L’Express du 30 mars 2020, contredisant ce qu’affirme pourtant la soixantaine de scientifiques du monde entier que Marie-Monique Robin a pu interroger pendant le premier confinement. Son livre La Fabrique des pandémies réunit ces entretiens dans une enquête passionnante qui explique comment la déforestation, l’extension des monocultures, l’élevage industriel et la globalisation favorisent l’émergence et la propagation de nouvelles maladies. Non seulement la pandémie de Sars-CoV-2 était prévisible, mais elle en annonce d’autres.

Inscrivez-vous à
Pour ne rien rater
Notre lettre info
1 à 2 envois par mois