Maladie de Charcot-Marie-Tooth, digestion améliorée en “sautant” le dîner
Liliane L. du Bas-Rhin avait donné son témoignage dans la revue n° 121 au sujet de la maladie de Charcot-Marie-Tooth dont elle est atteinte. Elle allait beaucoup mieux (40 % de mieux) depuis qu’elle était suivie par un médecin homéopathe. Récemment, deux lecteurs ont souhaité entrer en contact avec elle. Nous lui avons transmis leur courrier et en avons profité pour lui demander des nouvelles de sa santé. Elle nous a répondu :
Merci pour votre lettre. J’ai répondu au courrier des deux lecteurs. Oui, je vais super bien. Aujourd’hui, je puis dire 70 % de mieux. Je fais les choses toujours plus lentement que les autres, j’ai besoin de faire des pauses, mais je suis super contente ; ma santé s’améliore de jour en jour, même ma digestion. Je ne mange plus rien après 16 heures car ma digestion est lente, mes organes sont paresseux. Le lendemain matin, j’attends d’avoir faim pour manger. Ce rythme me convient bien. Maman souffrait aussi de problèmes de digestion et elle était toujours malade. La nuit, elle avait mal à l’estomac, au ventre. Lorsque j’y repense aujourd’hui, ma pauvre maman n’a jamais trouvé de remèdes. En plus, j’ai perdu 11 kg déjà et je me sens bien, croyez-moi. J’ai vaincu aussi mon acidité car mon terrain était trop acide. Je sais comment manger aujourd’hui (…). J’aimerais lire à nouveau quelque chose dans Rebelle-Santé sur ma maladie Charcot-Marie-Tooth, si un jour, vous le pouvez. Je serais heureuse aussi d’entrer en contact avec d’autres personnes atteintes de la maladie de Charcot-Marie-Tooth (pas la sclérose latérale amyotrophique appelée aussi maladie de Charcot). Merci d’avance (…). »
Si vous êtes atteint de cette maladie et souhaitez entrer en contact avec cette lectrice, écrivez à Rebelle-Santé – CS 80203 – 77520 Donnemarie-Dontilly, en précisant que le courrier est adressé à Liliane L. du Bas-Rhin, et nous lui transmettrons avec plaisir. Merci de joindre une enveloppe timbrée afin qu’elle puisse vous répondre.
Maryse
Retour au sommaire de Rebelle-Santé n° 162