communauteSans
Communauté
boutiqueSans
Boutique
Image décorative. En cliquant dessus, on découvre les différents abonnements proposés par Rebelle-Santé
S’ABONNER

La santé naturelle avec Sophie Lacoste

Sclérose en plaques… Et si c’était la maladie de Lyme ???

Certaines maladies dont on n’entendait pas parler ou très peu semblent de plus en plus fréquentes. Parmi elles, par exemple, la fibromyalgie et la sclérose en plaques.

Aujourd’hui, on a tous, dans notre entourage, une ou plusieurs personnes touchées par ces pathologies qui laissent souvent la médecine démunie. Or, récemment, à plusieurs reprises, j’ai lu des articles, des « blogs » ou discuté avec des thérapeutes d’une maladie qui, elle, ne fait pas de bruit (ou pas beaucoup), mais serait pourtant responsable de certains symptômes attribués, à tort, à la fibromyalgie ou à la sclérose en plaques : la fameuse maladie de Lyme (aussi appelée borréliose), transmise par les tiques.

UN BEL EXEMPLE
Maria G. est traitée depuis plus de 6 ans maintenant pour une sclérose en plaques. Lorsque les symptômes sont apparus, au départ de simples fourmillements dans les mains, son médecin traitant l’a dirigée vers un spécialiste en neurologie. Le diagnostic est tombé, confirmé ensuite par un professeur parisien. Seul un autre professeur, rencontré au hasard d’une soirée chez des amis, avait mis un petit bémol à la lecture de ses examens… Depuis, elle suit donc un traitement proposé dans cette maladie, à savoir une piqûre d’interféron bêta chaque semaine.
En complément, elle a décidé d’appliquer les théories du Dr Seignalet, en commençant par éliminer le gluten et la caséine de son régime alimentaire.

UN GUÉRISSEUR QUI A DU NEZ…
Il y a quelques mois, elle est allée voir, poussée par des amies et malgré son caractère « terre à terre », un guérisseur pratiquant la radiesthésie. Ce dernier, lors de la séance, lui a affirmé qu’elle n’avait pas de sclérose en plaques.
C’est lors d’une discussion avec une amie très curieuse qui s’intéresse à la santé et aux différentes thérapies « non conventionnelles » que l’idée de la maladie de Lyme a germé. En effet, à la lecture de différents documents sur le sujet et de forums sur internet, l’amie en question, sans doute influencée par l’avis du guérisseur, s’est demandé si cette sclérose en plaques apparemment peu sensible au traitement à l’interféron (et aux cures de corticoïdes testées plusieurs fois), n’était pas plutôt une borréliose…
Maria a commandé un kit sanguin dans un laboratoire spécialisé et a pris rendez-vous pour une prise de sang. Elle a aussitôt envoyé la fiole par la poste…

UNE ATTENTE ET UN CAUCHEMAR
Il y a une semaine, Maria a rêvé qu’elle recevait les résultats de son analyse de sang, négatifs. Et le jour même, au courrier, les résultats sont arrivés : infection pathogène au stade tardif… Elle doit prochainement revoir son neurologue pour en parler avec lui. En attendant, elle a commencé un traitement aux huiles essentielles.
Et, même si les résultats montrent une infection sérieuse, savoir qu’elle va lutter contre la borréliose plutôt que la sclérose en plaques lui a redonné un moral d’acier, une lueur d’espoir à laquelle elle ne croyait plus.

TIC TOX ET HUILES ESSENTIELLES
Pour « tuer » les bactéries responsables de la maladie de Lyme, rien de tel que les huiles essentielles. Il existe un produit formulé à cet effet : le Tic-Tox (Laboratoire Nutrivital) dont il faut prendre, dans un cas comme celui évoqué, 5 gouttes trois fois par jour dans un verre d’eau au cours des repas.

APRÈS LE DIAGNOSTIC, LE PRONOSTIC
Le naturopathe estime que le traitement étant entrepris très tardivement, on ne peut raisonnablement préjuger de la suite. Il sera peut-être nécessaire de procéder en deux étapes. Il faut en effet résoudre le problème de la bactérie, mais aussi celui des myriades de toxines qu’elle a produites au fil des ans.
Si les prochaines analyses sanguines montrent que la bactérie est éliminée ou en voie de l’être, mais que les symptômes persistent malgré tout, même atténués, cela signifie qu’il reste encore à neutraliser et éliminer de nombreuses toxines bactériennes présentes dans les voies nerveuses. En s’accumulant au fil du temps, ces toxines ont probablement provoqué des dégâts se traduisant par l’apparition de ces symptômes qui ressemblent tant à ceux d’une sclérose en plaques.

Pour lire la suite

Déjà abonné·e, connectez-vous !

Magazine

À lire aussi

Inscrivez-vous à
Pour ne rien rater
Notre lettre info
1 à 2 envois par mois